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2 mars 2021 2 02 /03 /mars /2021 22:27
TIENS : C'EST NOUVEAU ? UN JAMBON CUIT AU TORCHON DE QUALITÉ SUPÉRIEURE

TIENS : C'EST NOUVEAU ? UN JAMBON CUIT AU TORCHON DE QUALITÉ SUPÉRIEURE

LES NITRITES ET LA VIANDE DE PORC NE FONT PAS BON MÉNAGE

 

Sensibles aux problèmes qui entourent l’agro-alimentaire chimique nous avons été intrigués par l’emballage nouveau de tranches de jambon « sans nitrites » (photo ci-dessus).

Notre petite recherche documentaire nous a conduit à ce récent rapport déposé par 3 députés le 13 janvier 2021 : Rapport d’information sur les sels nitrites dans l’industrie agro-alimentaire :

https://www.vie-publique.fr/rapport/278079-rapport-sur-les-sels-nitrites-dans-lindustrie-agroalimentaire

Ce qu'il y a de sure scientifiquement c'est que la viande de porc n'est pas réputée cancérigène et que les nitrites ne le sont pas non plus mais que l'inclusion de nitrites dans la viande de porc (jambon) pour des questions de coloration et de conservation du jambon transforme le produit en une nourriture reconnue "cancérigène avérée pour l'homme".

La curiosité des députés sur ce thème de l'agroalimentaire était donc justifiée et ce rapport est très intéressant par sa forme et par son fond. Il n'est pas alarmiste et  il propose une démarche cohérente pour sortir d'une situation sanitaire et économique dangereuse raisonnablement. Puisque nous avons trouvé ce jambon sans nitrite dans le commerce...c'est donc possible !

 

POURQUOI PAS PLUS DE 150 GRAMMES DE CHARCUTERIE PAR SEMAINE ?

Le rapport de la mission d'information rappelle qu'il existe aujourd’hui une certitude scientifique : la charcuterie nitrée est cancérigène pour l’Homme.

 Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a classé, en 2015, la charcuterie comme « cancérigène avéré pour l’homme » en s’appuyant sur des preuves suffisantes concernant le cancer colorectal.

Avec l’alcool, la charcuterie est ainsi devenue le seul aliment consommé en France faisant l’objet d’un tel classement.

En conséquence, Santé Publique France recommande de ne pas dépasser une limite de 150 grammes de charcuterie par semaine, ce qui représente environ trois tranches de jambon blanc.

Ces prescriptions sont très loin d’être respectées : 63 % des Français les dépassent, ce qui est préoccupant. De nombreux scientifiques incriminent, pour expliquer cette cancérogénicité, les nitrites et nitrates ajoutés dans la charcuterie comme conservateurs, fixateurs de couleur accélérateurs de maturation.

 

HUIT PROPOSITIONS RAISONNABLES : UNE DÉMARCHE POUR SORTIR DE L'IMPASSE "NITRITES" EN ACCOMPAGNANT ÉCONOMIQUEMENT PRODUCTEURS ET TRANSFORMATEURS

Il faut tout faire pour s'éviter une nouvelle "crise du porc"dont notre agriculture n'a pas besoin.

  • Interdire  l’utilisation  des  additifs  nitrés  dans  la  charcuterie  à  compter  du 1er janvier 2023 pour les produits à base de  viande non traités thermiquement (produits salés  ou saumurés  crus  et  les  produits  à  base  de  viande  traditionnels  en  salaison  sèche  et  autres  produits saumurés de manière traditionnelle) et à compter du 1er janvier 2025 pour l’ensemble des produits de charcuterie ;
  • Accompagner cette transition par la mise en place d’un fonds public destiné à soutenir  l’adaptation  des  outils  de  production  des transformateurs,  en  particulier  artisans,  très petites entreprises (TPE) et petites et moyennes entreprises (PME) ;
  • Prévoir  pendant  la  période  transitoire  précédant  l’entrée  en  vigueur  de l’interdiction générale des additifs nitrés une limitation des quantités d’additifs nitrés pouvant être ajoutés dans les produits de charcuterie, en s’inspirant de l’exemple danois qui limite cette quantité à 60 milligrammes par kilogramme (mg/kg) ; 
  • Prévoir  une  entrée  en  vigueur  plus  précoce  de  cette  interdiction  dans  la restauration collective scolaire, hospitalière, carcérale et médico-sociale ; 
  • Apposer une mention sur les étiquetages des produits de charcuterie indiquant clairement, le cas échéant, que des additifs nitrés ont été utilisés pour leur fabrication et que l’utilisation de ces additifs est associée à un effet promoteur du cancer colorectal ;
  • Mettre en place un message à caractère sanitaire dans les messages publicitaires en faveur des produits de charcuterie et de salaisons fabriqués en ajoutant des additifs nitrés ; 
  • Considérer dès maintenant prioritairement la question des additifs nitrés, lors de la révision et ou l’adoption de cahiers des charges de filières sous SIQO (signes d'identification de qualité et d'origine) concernées ; 
  • Développer  une  stratégie  nationale  d’éducation  au  goût  dans  les  écoles maternelles, primaires et les collèges.

Nous serons attentifs au devenir de ce qui n'est actuellement qu'un rapport qui fait suite à une initiative parlementaire qui justement doit faire l'objet d'un suivi.

Des rapports de ce type rendus publics il y en a plus d'une dizaines par mois. Ils sont réalisés à la demande des commissions parlementaires selon les procédures prévues par les règlements de l'Assemblée Nationale et du Sénat. Ils sont très intéressants, très documentés, pertinents. Il faudrait pouvoir juger de leur efficacité.

Lien pour en visionner la liste des derniers rapports publiés:

https://www2.assemblee-nationale.fr/documents/liste/(type)/rapports-information/(legis)/15

 

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1 mars 2021 1 01 /03 /mars /2021 10:27
LE RETOUR DE L'ABEILLE NOIRE POLLINISATRICE PROFESSIONNELLE

LE RETOUR DE L'ABEILLE NOIRE POLLINISATRICE PROFESSIONNELLE

 

L’ÉCHEC DE LA PARTICIPATION CITOYENNE CCC EXPÉRIMENTÉE SUR LE PROBLÈME DU RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE

C’était ce dimanche 28 février 2021, la conclusion de cette parodie de démocratie gérée technocratiquement vendue au Président MACRON pour effacer « le Grand débat » et les gilets jaunes.

Même, les 150 tirés au sort qui ont accepté de participer à la CCC dont les 130 qui sont restés jusqu’au bout rejettent le résultat de la CCC en mettant, lors de la réunion de ce dimanche, une note globale de 2,5 sur 10 aux actions que leur a promises le Président de la République.

Donc, le fiasco de la CCC inutile.

Rassembler 150 citoyens, tirés au sort après avoir été triés, puis les encadrer pour leur éviter de dire et écrire des énormités et enfin appeler cela une convention citoyenne qui remplacerait la réflexion des élus, ce n’est pas sérieux. La CCC, c’était donner la clef du paradis à un groupe au sein duquel personne ne sait ouvrir une porte.

De cette convention, il en est sorti 149 propositions que nous vous recommandons de lire. De bonnes choses mais noyées dans du délire, de l’irrationnel et donc irréalisable.

Nous continuons à dire que l’écologie, ce n’est pas cela. Ce n’est pas Nicolas HULOT, un beau parleux mais un mauvais faiseux. L’écologie ce n’est pas tel ou tel ministre ou telle conférence internationale.

L’écologie ce ne sont pas des repas sans viande dans les écoles à Lyon, ni des NOËLS sans sapin à BORDEAUX.

L’écologisme professionnel, c’est de l’anti écologie.

Notre terre, notre planète c’est trop sérieux pour les confier à des politiques, pour les confier à des professionnels autoproclamés de l’écologie comme « L'écologie ! C'est une chose trop grave pour la confier à des autoproclamés écologistes. » ...

Regardez ce qui vent de se passer avec les centrales nucléaires. Il fallait à tout prix et vite supprimer les centrales nucléaires…ok…l’inconvénient c’est que les énergies de remplacement coûtent très cher et marchent au soleil et au vent qui sont capricieux …le résultat : on rallume les centrales au charbon qui sont les pires pollueuses. Voilà ce qu’est l’écologie que nous haïssons car elle fait du mal au mouvement citoyens responsables qui mettront en œuvre la somme gigantesque des gestes, des actions, des réflexes qui sauveront la planète.

Cette convention citoyenne pour le climat CCC, c’est, comme nous aimons le dire en reprenant un mot du général de GAULLE, c’est de la FOUTAISE ! Là, oui, il y a de l’énergie gaspillée ! 300 ou 400 personnes qui se déplacent, cogitent…pour rien de concret !

 

L’ÉCOLOGIE, C’EST NOUS, C’EST VOUS, CE SONT LES JEUNES

L’écologie, c’est avant tout une prise de conscience de tous. C’est de l’éducation, du civisme,

L’écologie, c’est ce que les enfants expérimentent quand ils vont collecter les « pollutions » en nettoyant leurs rues, leurs plages…

L’écologie, c’est toujours plus de tri des déchets, le réflexe tri, toujours moins de production d’emballages, toujours plus d’initiatives locales pour le compostage, de la recherche…ce sont les actions de terrain, les initiatives des élus locaux,

L'écologie ce n'est pas VÉOLIA qui s'immisce partout pour phagocyter tous les marchés (eau, déchets, recherche, expérimentations...) sans le vrai souci écologique et au prix fort,

L’écologie de tous, c’est la lutte de chacun contre les produits qui tuent toute vie dans nos terres cultivables, dans nos ruisseaux, dans nos rivières dans nos fleuves et dans nos mers,

L’écologie, ce n’est pas la voiture électrique à 100 %, avec des batteries qui, elles, vont polluer, avec en prime de la consommation d’électricité accrue alors que maintenant la France a une production d’électricité insuffisante,

L’écologie, c’est utiliser l’énergie au fil de l’eau au lieu d’interdire les petits et grands barrages et autres aménagements locaux possibles et bénéfiques pour tous,

L’écologie, c’est moins de déplacements polluants grâce au télétravail, à la semaine de 4 jours (quand c'est souhaité, souhaitable et possible) …

L’écologie, c’est aller aider les pays vivants dans la précarité et qui n’ont pas d’autres moyens que le plastique à leur disposition pour porter, ranger…

L’écologie c’est nous tous en nous prenant en main pour faire les bons gestes,

On pourrait continuer cette litanie résumée ainsi : l’écologie c’est vous, c’est nous, tous les jours, c’est notre commune…

 

 

 

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21 février 2021 7 21 /02 /février /2021 19:22
LES FRANÇAIS DEMANDENT DES VACCINS ET PAS D'ÉTAT D'URGENCE

LES FRANÇAIS DEMANDENT DES VACCINS ET PAS D'ÉTAT D'URGENCE

 

STOP À L’ÉTAT D’URGENCE ?

 

L’état d'urgence est une mise entre parenthèses de l'État de droit au profit du maintien de l'ordre public.

Il y a maintenant un an que cela dure et personne ne crie STOP ! C’est pourtant un crime de lèse démocratie.

L’état d’urgence est par définition liberticide puisqu’il permet de court-circuiter les procédures de protection des citoyens. En supprimant concrètement le rôle du Parlement, il permet à un groupe de technocrates à l’Élysée et à Matignon assis autour d’une table dans un beau bureau d’écrire des kilomètres d’ordonnances fixant des mesures qui le plus souvent ont quasiment toutes le caractère réglementaire et donc ne relèvent ni de la loi ni même de décrets

Premièrement, l’état d’urgence « sanitaire » a-t-il été et est-il encore nécessaire ? La réponse est non car quand on constate qu’après un an d’exercice de l’état d’urgence on ne voit pas ce qu’a pu apporter de positif cette suspension de l’État de droit pour combattre si maladroitement un nouveau virus. L’état d’urgence correspond à une situation exceptionnelle (comme ce fut pour les attentats de 2015) mais quand l’exceptionnel devient la règle, ce n’est plus de l’exceptionnel !

Deuxièmement, l’état d’urgence salutaire a montré son inutilité ; il n’a pas fait venir des masques, ni des vaccins, il n’a pas exterminé Covid-19. Pire, il est contreproductif puisqu’il transforme ceux qui doivent décider en simples exécutants irresponsables. C’est le cas des 35 000 maires de France, des conseillers départements et régionaux condamnés à subir.

Troisièmement, s’habituer à l’état d’urgence, accepter sans cesse son renouvellement est dans ce qui fut une démocratie (gouvernement du peuple par le peuple) une catastrophe collective ; c’est transformer le peuple en troupeau de moutons capable de se jeter dans le gouffre parce qu’au fond, l’homme-mouton de tête, a vu de l’herbe fraîche là où il n’y a que du roc. On vous dit : « pas de masque »: on n’en met pas ; on vous dit, dans la foulée « Mettez tous des masques » sinon contravention ! L’état d’urgence est-il nécessaire pour cela ?

Quatrièmement : un homme à la tête de l’État ouvre les vannes de l’argent public qui coule à flot…chômage partiel, aides aux entreprises, aux salariés, aux soignants, mais tout cela le Parlement peut le décider et même vite par les élus du peuple. Ils ont été élus pour faire la loi. Leur collégialité et le bicaméralisme doivent permettre d’affiner les textes qui vont générer des contraintes pour tout le bas et petit et bon peuple. Demandez aux restaurateurs, à tous ceux qui ont dû fermer leurs « boutiques » ce qu’ils en pensent !

On tue le parlementarisme et le parlement pour dire après que députés et sénateurs ne servent à rien. L’exécutif, avec son conseil scientifique pataugeant et maintenant au rancart, devait mener la guerre et chasser le virus avec ses pouvoirs spéciaux. Malheureusement on en est loin et malgré l’état d’urgence c’est le pouvoir exécutif qui en sort affaibli et le pouvoir judiciaire au sens large avec le conseil d’état, le conseil constitutionnel, émettent des rappels à l’ordre à l’exécutif qui petit à petit, se décrédibilise.

Cinquièmement, il faut donc se poser la question…qu’est-ce qu’a pu et peut encore apporter de plus le maintien de l’État d’urgence ?... Cette question est particulièrement gênante car les français quasiment unanimement ignorent l’état d’urgence lui-même mais alors pourquoi le maintenir ?

Sixièmement, le confinement sert au moins à une chose : attirer l’attention sur le rôle actuel des parlementaires qui ne peuvent plus siéger utilement ?

Soit, ils débattent sur des textes importants comme la loi la loi bioéthique, la modification du mode de vote pour 2022, la loi confortant le respect des principes de la République, dans l’indifférence la plus totale, soit ils restent dans leurs circonscriptions en famille et ou préparer les élections futures. Si cette situation perdure, les parlementaires seront-ils encore respectables et respectés ?

Il faut que cette situation du Parlement en congés cesse donc que l’état d’urgence qui n’a que trop duré ne soit pas reconduit.

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20 février 2021 6 20 /02 /février /2021 23:11
AU PAYS DES OLONNES, LA MENACE D'UN DÉSERT MÉDICAL RECULE

 

UNE SITUATION QUI SE DÉGRADAIT INÉLUCTABLEMENT

 

Si les candidats à la retraite se pressent pour s'installer au Pays des Olonnes il n'en n'est pas de même pour les médecins.

Lors des précédentes mandatures Louis GUÉDON avait déjà fait part de ses inquiétudes aux élus. Les médecins tant spécialistes que généralistes allaient prendre leur retraite et ils ne trouvaient pas de remplaçants. C'était la période des fermetures des cabinets au Centre Ville.

Son successeur,  Didier GALLOT, lui aussi a vite pris le relai de ces craintes et esquissé des propositions au Centre ville des Sables d'Olonne et à la Chaume et son adjointe le docteur Brigitte TESSON voulait lancer les téléconsultations.

Ces premiers pas d'une médecine aidée par la collectivité furent hésitants.

La situation empirait de mois en mois et les nouveaux arrivants aux Sables d'Olonne furent surpris de constater quand ils avaient besoin d'avoir recours à un praticien de s'entendre répondre partout...le médecin X ne prend plus de clients nouveaux  et surtout ne harcelez son secrétariat qui n'y est pour rien !

Arriver aux Sables d'Olonne et ne pouvoir trouver un médecin référent pour être suivi est vraiment signe de l'existence d'un désert médical.

Un seul recours : allez aux urgences ! Une situation mal gérée encore une fois dans le domaine de la santé : numerus clausus, l’évolution des mœurs : les jeunes futurs médecins ne veulent plus d’une médecine à exercer 24 heures sur 24 et 365 jours par an …ils veulent une vie personnelle « normale » et un exercice de leur profession normal.

Être à une heure d’une CHU faculté de Nantes, à une demie-heure d’un Centre Hospitalier Départemental, avoir un pôle Santé (Hôpital plus clinique) … et vivre dans un désert médical !

Mais rien ne sert de pleurer : il faut trouver d'urgence des solutions. Mais chacun sait que former un médecin généraliste c'est long et un spécialiste n'en parlons pas ! Le désert médical sablais n'est pas encore transformé en gigantesque oasis.

Ce n'est pas une raison pour ne rien faire, pour ne rien tenter.

Aux Sables d’Olonne, il y a 40 médecins généralistes…il en manque 15 ! Pourquoi donc les jeunes médecins et les autres ne veulent-ils pas ou ne peuvent-ils pas s’installer aux Sables d’Olonne ? On peut difficilement répondre que c'est parce que les Sables d'Olonne n'est pas une ville attractive puisque son maire vient de s'engager  à vouloir gérer  cette démographie sablaise en assumant le "choix d’une croissance modérée"?

Une ville attractive, mais pas pour les médecins ! Il fallait donc imaginer une méthode et trouver des moyens que le nouveau maire président de l'Agglomération Yannick MOREAU a présenté à la presse et aux élus chaque fois qu'il en avait l'occasion.

 

L’ACCUEIL DE NOUVEAUX MÉDECINS : UNE PRIORITÉ

Un plan est mis en place : une nouvelle compétence de la Ville des Sables d'Olonne et de l'Agglomération

La première cible fut l'accueil des médecins stagiaires et les internes de passage aux Sables d'Olonne. Puis il fallait les accompagner en espérant les convaincre de revenir...pour s'installer.

- Faire découvrir les Sables d’Olonne aux futurs médecins, puisque dans cette ville des internes passent il faut prendre contact avec ceux-ci,

- Faciliter leur vie comme stagiaire : prise en charge, logement...

- investir avec l'installation de nouvelles maisons médicales et des cabinets médicaux,

- participer à l'installation de la famille, trouver un emploi pour le conjoint,

- prévoir des moyens d'accueil pour les renforts en saison estivale ...

C'est quand même une situation, en 2021, qui sort de l'ordinaire.

 

DES RÉSULTATS ENCOURAGEANTS : HUIT GÉNÉRALISTES, 3 SPÉCIALISTES

Depuis le lancement du plan ce sont huit nouveaux généralistes qui seront installés avant septembre 2021 ainsi que trois spécialistes.

Pour être attractive,  la collectivité doit continuer à offrir aux futurs médecins en résidence des prestations attractives.

Mais il y aura encore des départs...on est donc encore loin du compte.

C'est un travail de longue haleine mais  que ce soit à la Pironnière ou au Centre Bourg d'Olonne sur Mer, dans le quartier du passage,  les choses bougent à la grande satisfaction des habitants : l'installation d'un médecin généraliste dans un quartier est devenu un événement.

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14 février 2021 7 14 /02 /février /2021 21:38
LA CONSTITUTION FRANÇAISE À REVOIR ?

LA CONSTITUTION FRANÇAISE À REVOIR ?

 

UN GOUVERNEMENT DRAGHI D’UNION NATIONALE : DE L’EXTRÊME GAUCHE À L’EXTRÊME DROITE EN PASSANT PAR LE CENTRE ET AILLEURS

L’Italie allait déjà mal avant la pandémie. Elle cumulait crises sanitaire, financière, politique…

Alors, chez nos voisins transalpins, à la faveur d’un nième renversement du gouvernement, il y a la tentative de recours à l’homme providentiel nécessaire car, en 2021, la situation ne s’améliorait pas.

Mario DRAGHI, surnommé "Super Mario" pour son rôle dans la crise de la dette de la zone euro en 2012 vient de prêter serment après avoir constitué son gouvernement que nous appellerons « gouvernement de Salut Public ».

Ce gouvernement d’union assez resserré mélange des anciens ministres et des techniciens et des politiciens de l’extrême droite (Matteo SALVINI), du centre, du centre gauche, des indépendants (Mouvement 5 étoiles ni droite ni gauche, ni élites)…

Mario DRAGHI a obtenu, la semaine dernière, le vote de confiance des députés. Il devint « chef du Conseil des Ministres »…en réalité il est chef d’une coalition fondée sur la confiance accordée à l’homme indépendant, à l’économiste nommé Mario DRAGHI.

 

UN VRAI CHEF DE GOUVERNEMENT POUR UNE MISSION TRÈS DIFFICILE

Le chef du gouvernement italien a réussi cette union sacrée avec pour missions et promesses le redressement économique avec l’aide de l’Europe, la sortie de la crise sanitaire Covid-19 qui a fait déjà plus de 100 000 morts et de la crise des « migrants ».

Pour réussir sa mission le nouveau chef du gouvernement italien peut aujourd’hui compter sur le soutien d’après les sondages de plus de 80% de la population.

Il a donc pas mal d’atouts dans sa main…à cela il faut ajouter la perspective d’élections en 2023 où toutes les cartes peuvent être rebattues dans une Italie qui rejette une gouvernance des partis classiques en se réfugiant dangereusement dans des structures qui ne sont pas des partis politiques.

 

ANALYSER CETTE SITUATION POUR LA FRANCE

En 2017, en élisant Emmanuel MACRON la « petite » France qui est allée voter pensait rejeter les partis classiques de la droite à la gauche ainsi qu’un système centralisé, étatisé et technocratisé qui avait fait les preuves de son impuissance.

Elle avait élu son homme providentiel, Emmanuel MACRON, sur la base d’un programme « RETROUVER NOTRE ESPRIT DE CONQUÊTE POUR BÂTIR UNE France NOUVELLE ».

Les Gilets Jaunes, les rejets de la réforme sur les retraites et Covid-19 ont abattu, reporté, décrédibilisé ce programme qui ne trouvait pas de défenseurs ni même un parti nouveau pour le porter. Il reste un Président seul.

En 2021 et 2022, la France va aller d’élections en élections : Régionales, Départementales et Présidence de la République.

La France qui pense plus Covid-19, déconfinement…se cherchera alors son nouvel homme providentiel qui lui redonnera confiance avec un programme crédible sans compromis avec des partis appartenant à un passé rejeté.

 

CE QUI EST BON POUR L’Italie (régime parlementaire) PEUT-IL L’ÊTRE POUR LA France (régime quasi présidentiel) ?

Attention, l’Italie n’est pas la France !

L’Italie a un système parlementaire fort, fondé sur les Article 56 de sa Constitution « La Chambre des députés est élue au suffrage universel et direct. » et son Article 71 « L'initiative législative appartient au gouvernement, à chaque membre des chambres et aux organes et institutions auxquels elle est conférée par la loi constitutionnelle. Le peuple exerce l'initiative législative au moyen de la proposition, par cinquante mille électeurs au moins, d'un projet rédigé en articles. »

Et le chef d’État italien est un réel Président de la République d’un régime parlementaire représentant le pays et son unité, un régulateur, un arbitre éventuel.

Ce serait un régime idéal démocratiquement mais le mode d’élection des députés italiens ne permet pas de dégager une majorité forte : multipartisme et impuissance découlent d’alliances des partis qui se font et se défont au gré des circonstances…comme ce fut en France durant la quatrième République.

 

Il faudra donc que la France choisisse entre régime présidentiel ou régime parlementaire. Son régime bâtard actuel a aussi fait les preuves de ses graves ambiguïtés. L’homme providentiel qu’elle devra se donner en 2022 devra trancher.

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26 janvier 2021 2 26 /01 /janvier /2021 16:56
VACCINATION, CAFOUILLAGE : DES EXPLICATIONS

 

IL Y AVAIT LE MILLEFEUILLE DES COLLECTIVITÉS PUBLIQUES, IL Y A MAINTENANT LE MILLEFEUILLE DU SERVICE PUBLIC DE LA SANTÉ

 

NOTRE SOURCE : L'IREF

Nous ne dirons jamais assez l'admiration que nous portons à cette institution nommée IREF ( Institut européen de recherche militant pour la liberté économique et la concurrence fiscale https://fr.irefeurope.org/ ) pour la pertinence de ses analyses, le sérieux fait dans ses recherches documentaires...

On pourra toujours dire du mal des réseaux sociaux mais avoir la chance d'accéder, justement sur les réseaux sociaux, à un tel niveau de compétence est un privilège pour ceux qui veulent savoir et comprendre. Privilège que nous espérons partager avec vous, chers amis lecteurs.

 

GESTION CATASTROPHIQUE DE LA SANTÉ PUBLIQUE

Nous nous étonnions de voir au niveau des services d'État  apparaître depuis le début de la crise sanitaire des sigles nombreux avec des informations parfois contradictoires sur une sujet aussi sérieux que COVID-19, la pandémie, les vaccins. Ces sigles cachent des organismes et leurs "spécialistes" qui gravitent toutes dans les hautes sphères du pouvoir auquel ils prodiguent leurs conseils.

Dans son article sur le sujet, IREF cite une dizaine de ces organismes (voir tableaux ci-dessous).

 

LES CONSEILLEURS NE SONT PAS LES PAYEURS MAIS SONT PAYÉS

L'IREF donne cette précision exemplaire.

"Ainsi Santé publique France, le Haut Conseil à la Santé publique et la Direction générale de la Santé ont tous des prérogatives de prévision, respectivement « observation et surveillance épidémiologique », « fournir aux pouvoir publics l’expertise nécessaire à la gestion de crise », et « protéger des menaces sanitaires nationales et internationales ».

Donc, voilà des organismes qui ont souvent le même objet, qui doivent donc apporter au pouvoir des compétences, justifier de leurs budgets et dont les membres sont soit des fonctionnaires, soit des scientifiques, soit des décideurs tous plus ou moins "influencés" par les lobbies de l’industrie pharmaceutique.

 Le pouvoir face à COVID-19 hésitant, critiqué, dépassé en résumé démuni et impuissant suite  surtout à ses erreurs du début de crise fait tellement confiance à ces organismes qu'il en a multiplié le nombre.

Cette situation à elle-seule déjà explique la nouvelle crise pour le cafouillage concernant la vaccination et peut-être le naufrage de l'Institut PASTEUR ET SANOFI , nos fleurons de l'industrie pharmaceutique.

 

LES RAPPORTS DES COMMISSIONS D'ENQUÊTE DE L'ASSEMBLÉE NATIONALE ET DU SÉNAT SONT ACCABLANTS POUR LES GOUVERNEMENTS

Ces rapports du Parlement qui ont du être édulcorés (pour pouvoir être publiés et éviter les mises en cause personnelle ! ) sont des documents maintenant disponibles au public.

Voici un tout petit extrait de la présentation du rapport au Sénat cet exemple parmi tant d'autres...sur les masques, sur les tests...

Extrait de :

https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/covid-19-le-rapport-du-senat-qui-accuse-186095

« À une insuffisante coordination des instances d’expertise scientifique, s’est ajoutée une organisation peu lisible et peu efficiente d’une communication de crise gouvernementale jugée trop verticale » ... « Les querelles entre scientifiques sur la gestion de l’épidémie ont également pesé sur la capacité des pouvoirs publics à emporter l’adhésion de la population à des recommandations sanitaires souvent évolutives » ajoutent-ils.

CONCLUSION EMPRUNTÉE À L'IREF

"En termes de santé publique comme en politique générale, la simplicité et la rapidité sont gage d’efficacité. Ce dont nous avons besoin plus que jamais."

VACCINATION, CAFOUILLAGE : DES EXPLICATIONS
VACCINATION, CAFOUILLAGE : DES EXPLICATIONS
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23 janvier 2021 6 23 /01 /janvier /2021 22:21
LE CHEF DE L'ÉTAT ET LES PROCUREURS

LE CHEF DE L'ÉTAT ET LES PROCUREURS

 

ENFIN UN CHEF D’ÉTAT QUI PARLE DE LA JUSTICE !

Une « petite phrase » du Président MACRON prononcé ce jeudi 21 janvier :

« Et je le dis parce que ce qui va avec la défiance française, c’est aussi cette espèce de traque incessante de l’erreur. C’est-à-dire nous sommes devenus une nation de 66 millions de procureurs. Ce n’est pas comme ça qu’on fait face à la crise ou qu’on avance »

Avant de commenter ce qu’a ainsi tenté d’expliquer aux français le Président de la République nous rappellerons ce qu’est le Procureur de la République et l’importance de la fonction dans le système judiciaire français.

Dans une juridiction classique il y a deux têtes : le Président, magistrat du siège, qui appartient à la magistrature assise donc super protégée, « indépendant » et le Procureur, magistrat du parquet, à qui il appartient de requérir l’application de la loi au nom de la société.

La souveraineté nationale appartient au peuple qui l'exerce par ses représentants et par la voie du référendum…dit la Constitution.

Donc, quand Emmanuel MACRON traite tous les français de procureurs, c’est une La Palissade puisqu’il est le Président de tous les français à qui il doit donc rendre compte de sa gestion. Ses décisions doivent être « jugées » par les français.

Être procureur garant de la bonne exécution de la loi est aussi un honneur puisque, par définition, le Procureur est un serviteur de la Justice et servir la Justice est une responsabilité fondamentale pour un pays.

Par contre, ce qui peut choquer les puristes c’est d’entendre le Chef de l’État se mêler ainsi du monde de la JUSTICE en jetant sans respect en pâture le mot « procureur ».

Le Président de la République est le chef de l’EXÉCUTIF et d’après le sacrosainte séparation des pouvoirs EXÉCUTIF, JUDICIAIRE ET LÉGISLATIF il n’a pas à interférer dans le domaine de la JUSTICE.

Mais, chacun sait que c’est trop de la théorie et que les chefs d‘État en France nomment les magistrats ! Donc, leur neutralité et leur indépendance est relative, même très relative.

Traiter les français de procureurs devrait être un honneur et mais remis dans le contexte de l’invective du Président de la République c’est une forme d’injure ou au moins une admonestation.

Nous pensons que les Procureurs ne sont certainement pas très heureux de l’utilisation péjorative faite de leur titre et que la Justice, justement fonction régalienne, mal traitée depuis des décennies et indispensable à la Nation attend autre chose du Chef de l’État.

La noble fonction de Procureur fait que ce mot a un sens qui va à l’inverse de ce que le Chef de l’État a voulu lui donner. Nous sommes 66 millions de citoyens français fiers d’être des procureurs chargés de veiller à l’application de la loi qui demeure encore l’émanation de la volonté du peuple souverain !

Le peuple a le droit et le devoir d’être critique vis-à-vis de ceux à qui il donne mandat avec son bulletin de vote. Vouloir retirer ce droit au peuple, c’est détruire l’édifice sur lequel est bâti la démocratie et la République.

 

66 MILLIONS DE "PROCUREURS" ! ET LEUR CHEF AUTOCRATE

Pourquoi cette invective ?

Parce que le Président MACRON ne supporte pas le mécontentement de la population dont il voudrait satisfaire tous les appétits…pour se faire réélire. C’est humain ! Mais dégradant pour la fonction de Président.

Il constate que, quoi qu’il fasse, le peuple grogne. Il gronde même…pour les masques, pour les lois d’exception prises au nom de l’État d’Urgence sanitaire, pour les vaccins qui n’arrivent pas... effectivement pour les errements dans la gestion de cette crise sanitaire…

Or, face à COVID-19, il est obligé de prendre des décisions : s’il n’en prend pas le peuple gronde, s’il en prend et que le peuple constate des errements le peuple gronde…et le Président de la République devenu un autocrate est donc, ainsi, par définition, maintenant responsable de tout ce qui se passe en France ! et particulièrement en matière de Santé. Il ne sait plus quoi faire.

Alors, au lieu de s’en prendre à lui-même, il s’en prend à son bon peuple déjà secoué par COVID-19.

Il a demandé à celui-ci de l’élire. Il a été élu. Maintenant il pense, à tort, l’injurier en traitant les français de « procureur » ; ce qui, d’une part, comme nous l’avons écrit n’est pas respectueux de cette noble fonction et de ceux qui la servent et d’autre part, voudrait être peu flatteur pour ce bon peuple qui l’a porté à la magistrature suprême !

Le Président MACRON a encore en cette occasion manqué de sang-froid et de sagesse.

Le Général de Gaulle pouvait se permettre de fustiger les français avec des petites phrases et des mots choisis.

Le Président MACRON accroché au pouvoir aujourd’hui n’est pas le Général de Gaulle qui était au-dessus du pouvoir et savait partir.

Le Président MACRON est donc avec ses 66 millions de procureurs perdant sur tous les plans.

Les 66 millions de « procureurs » sont des citoyens qui votent ou pourront voter.

 

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22 janvier 2021 5 22 /01 /janvier /2021 22:07
VENDÉE GLOBE : UN COUP DE POIGNARD DANS LE DOS DE NOUS TOUS

LE VENDÉE GLOBE 2020/2021 :

ARRIVÉES INTERDITES AU PUBLIC

 

A VOUS TOUS QUI NOUS HONOREZ EN NOUS LISANT AVEC TANT DE SYMPATHIE NOUS VOUS TRANSMETTONS CE MESSAGE QUI DÉBORDE D'AMERTUME

 

OUI, ON POUVAIT FAIRE AUTREMENT !

LE POUVOIR PARISIEN NOUS ENLÈVE CE MOMENT DE JOIES À PARTAGER ENTRE NOUS

 

Ce soir, nous prenons acte de la décision de l'État, de PARIS, d'un pouvoir centralisateur qui se refuse à croire aux vertus de la décentralisation inscrite dans la Constitution dont l'Article Premier stipule

"ARTICLE PREMIER.

La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée."

 

Nous n'allons pas inciter à la désobéissance. C'est Paris qui a décidé.

Simplement, nous vous demandons de ne pas oublier ce que ce pouvoir nous inflige comme si COVID-19 ne suffisait pas...la double peine.

Sur les quais, sur les jetées, nous aurions fait tous ensemble les efforts qu'impose la situation...NON, nous sommes jugés a priori, sans comparaître, sans droit de réponse comme des incapables d'être disciplinés, respectueux des règles sanitaires qui nous auraient été imposées.

Quand le Pouvoir cherchait partout des masques qui n’existaient pas, il a été bien content de trouver les collectivités locales et la population qui ont fait naître et distribuer par miracle ces masques pour protéger d'abord les soignants, puis nous tous.

Aujourd'hui, voyez comme nous sommes traités, méprisés, volés du petit moment de  bonheur convivial qui s'offrait à nous...et aux skippers !

ON POUVAIT FAIRE AUTREMENT

COMMUNIQUÉ

DU MAIRE DES SABLES D'OLONNE

VENDÉE GLOBE : UN COUP DE POIGNARD DANS LE DOS DE NOUS TOUS
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