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8 avril 2023 6 08 /04 /avril /2023 11:28
L'EAU DOIT POUVOIR EN FRANCE À COULER À CONDITION D'ÊTRE RAISONNABLE

L'EAU DOIT POUVOIR EN FRANCE À COULER À CONDITION D'ÊTRE RAISONNABLE

 

 

 

 

L’EAU EST DEVENUE UN MARCHÉ JUTEUX...MAIS NE PAS OUBLIER QUE C’EST LE CONSOMMATEUR QUI BOIT ET QUI PAYE !

 

IL FAUT RAPPELER QUE LA FRANCE NE MANQUE PAS D’EAU

Selon les chiffres du Ministère de la Transition Écologique

- Eau consommée : le volume annuel d'eau consommée est estimé à 4,1 milliards de m3

- Eau prélevée : 28 milliards de m 3

- Consommation annuelle d’eau potable par habitant : 64 m3

Déduction simple : la ressource est suffisante, la gestion de la ressource est mauvaise depuis des décennies

Il faut démonter la mécanique qui donne ce piteux résultat.

 

L’EAU ET LE GROUPE VEOLIA : UN BIEN COMMUN MAL GÉRÉ ET UNE ENTREPRISE QUI DOIT VIVRE DANS UNE ÉCONOMIE ATYPIQUE

Nous sommes très étonnés d’apprendre qu’on peut changer des compteurs d’eau en parfait état de fonctionnement qu’ils marchent ou qu’ils ne marchent pas ! C’est pourtant ce qui nous a été annoncé.

Pour le territoire des Sables d’Olonne, VEOLIA est le délégataire du Service Public de l’EAU pour le compte du Syndicat mixte VENDÉE EAU (https://www.vendee-eau.fr/ ) qui gère l’eau quasiment de la totalité des communes de la Vendée.

Le rôle statutaire de Vendée Eau est clair comme de l’eau de roche :

« Vendée Eau est le service public de l’eau en Vendée. Vendée Eau est en charge de la protection et du captage de l’eau brute et de la production et de la distribution de l’eau potable pour les 19 communautés de communes et d’agglomération de Vendée (sur 19 !) ainsi que l’Ile d’Yeu. Vendée Eau exercera également, à compter du 1er avril 2023, la compétence assainissement collectif pour une partie du territoire vendéen. »

Il ne pleut pas la même quantité d’eau au Nord; au Sud; à l’Est et à l’Ouest de la Vendée donc l’idée de mutualiser l’eau au sein d’un département est très positive (nous le répétons) mais à deux conditions essentielles :

  • Que les partenaires dits « délégataires » des collectivités que ce soit VEOLIA, SAUR,...ou toute autre société soient des prestataires irréprochables,
  • Que les élus puissent exercer efficacement et impartialement leurs droits et devoirs du contrôle du respect des clauses des contrats de délégation de Service Public par leurs délégataires

Or, nous avons tous maintenant acquis la certitude que ces obligations ne peuvent être parfaitement exercées...d’où les scandales dénoncés publiquement !

Le scandale passe...les problèmes demeurent.

De plus, la position dominante de certains groupes internationaux ouvre la porte à des abus dans l’exécution de leurs obligations vis à vis de leurs donneurs d’ordres que sont contractuellement les collectivités territoriales.

Il est bon qu’il y ait en France de grandes entreprises comme VEOLIA pour rayonner à l’étranger mais il est très pernicieux que ces puissantes sociétés puissent en toute impunité avoir des positions dominantes et en abuser sur le territoire français.

Or, les délégataires quand ils usent et abusent de leurs pouvoirs dominants sur les élus, c’est au détriment de l’intérêt général et particulièrement de celui des consommateurs que nous sommes tous. C’est un fait acquis et dénoncé.

 

L’EAU : UN GROS MARCHÉ ET DES ENJEUX SOCIAUX ET ÉCONOMIQUES TRÈS IMPORTANTS

L’exploitation du secteur, au sens large, en France, est un marché « très juteux » qui est estimé à 16 milliards d’euros (voir document Cour des comptes 2023).

...pour un produit qui a la valeur zéro...l’eau est un bien commun ! Vous pouvez prélever un verre d’eau à une source...elle ne vous coûtera rien !

On comprend que le donneur d’ordres (les élus) n’est pas armé pour lutter contre toutes les tentations que cette manne génère.

Au final, le grand perdant, maintenant, c’est le consommateur à deux titres :

  1. Il est oui! ...plumé : « la facture d’eau est imbuvable » et il garde le droit de se taire,
  1. Il est victime de la pénurie d’eau faute d’investissements nécessaires non réalisés alors qu’il existe la matière première et les moyens financiers de faire face mais que ces moyens sont subtilisés?

 

 

À SUIVRE:

DAVID CONTRE GOLIATH

EN FRANCE, EN 2023, L’EAU NE COULE PLUS DE SOURCE
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18 mars 2023 6 18 /03 /mars /2023 17:58
L'EAU COULE ENCORE MAIS IL LUI FAUDRA UNE POLITIQUE

L'EAU COULE ENCORE MAIS IL LUI FAUDRA UNE POLITIQUE

 

 

 

 

 

LA France NE MANQUE PAS D’EAU MAIS L’ÉVOLUTION DES TECHNIQUES PEUT METTRE EN DANGER CE BIEN VITAL NOMMÉ « EAU »

Sur ce sujet comme sur celui gravissime des pollutions liées à l’utilisation massive des pesticides et du traitement des déchets ménagers depuis des années nous vous informons sur les combats menés contre l’inertie des responsables et contre l’irresponsabilité de certains consommateurs.

Contrairement à ce qui est trop souvent écrit la France est un pays qui ne manque pas d’eau mais c’est simplement la collecte et l’utilisation qui en est faite qui sont en cause.

Des saisons sèches, des années de sécheresse...il y en a eu et il y en aura encore.

Comme la viticulture, aujourd’hui encore, il y a de bonnes années et de moins bonnes

Alors que nos aïeux agriculteurs savaient s’adapter car ils n’avaient ni l’intention ni les moyens techniques de dompter la nature ni ceux pour la forcer.

Ils devaient se contenter, par exemple, de la polyculture, de l’utilisation des engrais naturels, de la mise en jachère...ils respectaient les sols.

Mais l’homme a voulu s’affranchir des caprices du temps (on dirait maintenant météo) et de ceux de la nature.

Pour produire toujours plus, il est prêt à tout essayer sans avoir de certitudes sur les conséquences de l’emploi des techniques nouvelles.

L’eau, elle, subissait les effets des techniques nouvelles mises en œuvre par des apprentis-sorciers et continuait inlassablement son cycle peut-être mis à mal par les interventions humaines hasardeuses...

Ainsi aux pollutions naturelles sont venues s’ajouter les pollutions nouvelles et autres phénomènes nouveaux dont l’homme ne maîtrise pas toutes les données.

La peur de manquer d’eau potable s’installe donc et comme l’État et les collectivités locales se doivent d’assumer l’approvisionnement de tous les habitants en eau potable...obligation de résulta...donc réglementation!

Donc face au risque de manquer...les préfets rationnent, restreignent l’utilisation de l’eau notamment pour les prélèvements pour les besoins de l’agriculture.

 

ON DÉCOUVRE QUE C’EST L’AGRICULTURE QUI EST LA PLUS GROSSE CONSOMMATRICE D’EAU

Le CNRS à la fin du siècle dernier a étudié ce phénomène a mis en évidence le fait maintenant incontesté que le plus gros consommateur d’eau avec le développement de de la technique de l’irrigation est l’agriculture.

L’agriculture moderne est aussi le plus gros pollueur de l’eau prélevée.

 

LE TRIBUNAL JUDICIAIRE DES SABLES D’OLONNE SAISI D’UNE AFFAIRE D’INFRACTION AUX RÈGLES CONCERNANT LES prélèvements D’EAU POUR L’IRRIGATION

Cette affaire illustre bien la problématique de l’eau.

C’est un bien qui est la propriété de tous utilisé plus par certains que d’autres. Utilisé abusivement ?

C’est un produit qui existe en quantité suffisante en France sauf si le monde agricole se met à en consommer trop.

L’eau devient alors une « source » de conflits arbitrés par la puissance publique.

Nous devrons attendre mi-avril pour avoir connaissance du jugement du Tribunal Judiciaire des Sables d’Olonne.

Après l’affaire des « bassines » c’est tout le problème de la préservation de l’accès de tous à un bien commun qui est posé.

C’est aussi tout le problème de l’agriculture moderne productiviste qui est aussi posé...on sait qu’elle est génératrice de pollution et qu’elle est aussi une richesse de la France et de son autonomie relative en matière d’alimentation.

Comme on sait aussi la part grandissante des lobbys « agro-chimiques» dans les décisions concernant par exemple l’utilisation de fertilisants et autres pesticides.

L'eau va redevenir un enjeu et il faudra bien cette fois que  soient cadrés les droits et devoirs des consommateurs en toute transparence...ce ne sera pas chose aisée tant les intérets des uns et des autres peuvent être divergents.

 

A SUIVRE ...

 

LA COUR DES COMPTES PLONGE DANS LA GESTION CATASTROPHIQUE DE L'EAU

 

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15 mars 2023 3 15 /03 /mars /2023 15:31
ELLE COULE, ELLE COULE L'EAU DU COURS D'EAU DU TANCHET QUI IRA SE JETER DANS L'OCÉAN

ELLE COULE, ELLE COULE L'EAU DU COURS D'EAU DU TANCHET QUI IRA SE JETER DANS L'OCÉAN

 

 

 

 

LES MÉDIAS : ON NE PEUT PAS ET ON NE DOIT PAS LEUR FAIRE CONFIANCE

suite de :

https://www.olonnes.com/2023/03/il-pleut-sur-la-france.c-est-la-faute-du-changement-climatique.html

 

LA PRESSE ÉCRITE, LES JOURNAUX TÉLÉVISÉS ...VOUS ONT "INONDÉS" D'INFORMATIONS SUR LA SÉCHERESSE...CE QUI LEUR PERMETTAIT DE PARLER DU CHANGEMENT CLIMATIQUE DONT ON CONNAIT FORT PEU DE CHOSES ET DE NE PAS PARLER DES CHOSES QUI GÊNENT QUE LES INFORMATEURS SONT PRIÉS DE TAIRE

 

Ainsi quasiment tous les médias sont condamnés à vous "bourrer le mou" et particulièrement ceux qui traitent l'information "à chaud". Les informateurs journalistes et autres  échotiers  parlent de sujets dont ils n'ont pas  le temps de vérifier les sources.

Ce sont trop souvent seulement les communiqués des Agences de Presse et sur ces communiqués ils brodent le nombre de minutes ou de lignes que leur rédaction leur a accordé.

"Bourrer le mou" est ainsi défini "Mentir pour tromper, tenter de duper ou d'escroquer quelqu'un ...",  le mou, en vieux françois, signifie "cerveau" !

Nous sommes donc tous plus ou moins des victimes de l'imprudence voire de la médiocrité des médias.

Certaines informations peuvent être même volontairement déformées pour des buts inavoués et ou inavouables. L'exemple type est actuellement l'orientation de l'information pour sortir de l'objectivité sur la loi dite déjà à tort "réforme des retraites"...déjà le titre est un demi mais gros mensonge comme nous avons pu l'expliquer ...après avoir lu et relu le projet de loi et même suivi un peu les débats à l'Assemblée Nationale et aussi au Sénat.

Au Sénat, nous pouvons dire par contre, que nous avons entendu des exposés tant sur le fon d que sur les procédures de très, très haut niveau...dont nous n'avons pu lire une seule ligne dans la presse que nous épluchons pourtant tous les jours

C'est un peu comme si consigne était donnée à des journalistes de mentir y compris par omission.

Mentez, mentez...il en restera toujours quelque chose !

Pourtant la France ne manque pas de bons voire d'excellents journalistes et chroniqueurs.

Aujourd'hui, ainsi nous devons subir un assaut des pessimismes qui noircissent toutes les informations : il faut du drame, du sang, de l'ignominie...tout ce qui est bien, beau sera donc sacrifié et occulté. À qui profite le crime ?

C'est pour cela qu'il est intéressant de tout faire pour sauvegarder ce qu'on appelle les réseaux sociaux qui drainent le meilleur comme le pire....enlevons le pire pour que demeure le meilleur  c'est un certain contre-pouvoir qu'il faut protéger.

 

SOUVENEZ-VOUS LA SÉCHERESSE UNE FAUSSE NOUVELLE AU MOINS POUR LA VENDÉE...LA PREUVE VOIR CI-DESSOUS LE NIVEAU DE REMPLISSAGE DES BARRAGES-RETENUES D'EAU

Les courbes comparatives des dix dernières années années ne peuvent mentir...au 12 mars 2023 le taux de remplissage des retenus est de 85,8 % ...au plus haut depuis 10 ans comme ce fut le cas pour la troisième fois de cette décennie!

Mais, ce n'est pas pour cela qu'il faut gaspiller ce bien précieux qu'est l'eau ! Gardons les bonnes habitudes.

Il y a certainement des régions où la pluviométrie de ces derniers mois est défavorable mais cela ne permet pas de tirer d'exemples de zones où la pluviométrie a été déficitaire cet hiver pour dire que toute la France est menacée de sécheresse terrible pour cet été. C'est pourtant ce qu'on a essayé de nous faire croire. Annoncer cela, c'est simplement mentir comme nous l'avons entendu sur TF1 au cours d'un Journal tout récent de 13 heures.

Peut-être que cette fausse nouvelle "intéresse" ceux qui attendent des subventions, ceux qui font du catastrophisme leur fond de commerce comme les écologistes politiques...mais c'est une fausse nouvelle !

Alors, gardons ou prenons l'habitude d'être circonspect sur toutes les informations, gardons notre droit d'analyse et de scepticisme, recoupons les sources d'information et surtout apprenons aux jeunes générations à garder prudemment du recul face au flot d’informations qui nous submerge...les informations c'est comme pour les déchets :  on en produit trop donc TRIONS !

 

EN ROUGE SURLIGNÉ LA COURBE 2023...ALORS LA SÉCHERESSE EN 2023 ?

EN ROUGE SURLIGNÉ LA COURBE 2023...ALORS LA SÉCHERESSE EN 2023 ?

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2 mars 2023 4 02 /03 /mars /2023 21:25
PLUVIOMÉTRIE NORMALE, NIVEAU DES BARRAGES NORMAL...C'EST À CAUSE DE LA SÉCHERESSE...EN ROUGE 2022/2023

PLUVIOMÉTRIE NORMALE, NIVEAU DES BARRAGES NORMAL...C'EST À CAUSE DE LA SÉCHERESSE...EN ROUGE 2022/2023

 

 

 

 

LES MÉDIAS RESPONSABLES DE GROS MENSONGES ET ILS

PRATIQUENT AUSSI BEAUCOUP LE MENSONGE PAR OMISSION

 

Sécheresse sur la  France ? Voilà un bel exemple de fausse nouvelle, forme moderne du mensonge.

Mais, dans les médias, il y en a tant d’autres contre lesquels il faut aussi s’élever.

Nous devons tous réagir : il faut faire comprendre aux médias qu’il ne faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages.

Rappelons-leur ces deux dictons :

« Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n'est pas que vous croyez ces mensonges, mais que plus personne ne croit plus rien. Et cette situation a toujours à terme de graves conséquences au niveau d’un pays ».

« On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps. »

Pour notre analyse nous avons choisi un sujet banal et récurrent : la couleur du temps, le changement climatique, l’écologisme...

Disons, par exemple, d’abord, que ce n’est pas parce qu’il fait chaud dans le Métro à Paris qu’il y a des signes de réchauffement de la terre sur toute la France. Il en est de même,  ce n’est pas parce que la pluviométrie a été faible dans le Sud de la France qu’il faut parler de la sécheresse en 2023 sur toute la France.Et pourtant c'est comme cela que l'information se forme et se déforme !

Partons des exemples de données que nous maîtrisons (Vendée) et sur la base des chiffres « météo » des années passées (une année météo va de septembre de l’année N à août de l’année N+1) et examinons la situation en ce début mars 2023.

Nous constatons que :

  • Contrairement à ce qui est annoncé la pluviométrie 2022,2023 est parfaitement dans la moyenne des 10 dernières années et ceci se reflète dans le taux de remplissage des barrages de ces 10 dernières années, (voir document ci-dessus),
  • La température : soit disant, nous avons entendu les journalistes dire et répéter que nous bénéficions d’un hiver particulièrement doux : désolé mais pour les chiffes des deux premiers mois d’hiver si, janvier est dans la moyenne, février, est largement en dessous des moyennes !
  •  

ALORS, QUE CROIRE ? QUI CROIRE ?

LE PIRE : LE TRI SÉLECTIF DE L’INFORMATION

D’abord comme le dit parfaitement l’expression « on ne vous dit pas tout »...

Quand on suit d’un peu près l’actualité, on est confronté à un énorme flot d’informations mais on s’aperçoit très vite que les « comités de rédaction » et autres censeurs sont en fait très souvent des usines de tri sélectif.

La presse écrite et la presse télévisuelle sont soumises à des pouvoirs et des idéologies qui sont des pressions permanentes qui tuent la vérité et la sincérité de l’information ce qu’on nomme l’objectivité.

Les journalistes savent qu’ils doivent parler le moins possible de la perte de pouvoir d’achat, des mois d’attente pour avoir un rendez-vous urgent chez un médecin généraliste ou spécialiste, de menaces d’attentats déjouées, de l’inflation, de la pauvreté, de la dette, de la vérité sur le projet de réforme des retraites ... mais qu’il vaut mieux traiter d’un fait divers qui a l’avantage d’être oublié le lendemain.

Combien l’affaire PALMADE a-t-elle pu occulter d’informations à diffuser beaucoup plus importantes ?

 

LE MOINS PIRE : LES FAUSSES NOUVELLES

Moins pire ? C’est une réalité très relative car la fausse nouvelle est lancée, en général, plus pour nuire que pour influencer l’opinion.

Une fois que le mal a été fait la fausse nouvelle est oubliée du public. Reste que les victimes de celle-ci sont elles aussi oubliées dans leur détresse.

 

UNE INFORMATION ASEPTISÉE, DES JOURNALISTES À LA DÉRIVE ET UNE INFORMATION DÉCRÉDIBILISÉE

C’est donc une conclusion alarmante que nous faisons : la liberté d’expression n’est plus une réalité. Elle n’est plus possible.

Tout cela est due, pour une part, à l’audimat qui condamne le journaliste à relater des faits qu’il n’a pu vérifier. Il vit avec la peur d’être doublé par un collègue, par les réseaux sociaux, par une présentation de la presse à scandale, d’arriver trop tard comme si l’information non vécue pouvait être servie sans vérification.

D’autre part, la presse écrite et la presse télévisuelle sont soumises à des pouvoirs et des idéologies qui sont des pressions permanentes qui tuent la vérité et la sincérité de l’information ce qu’on nomme l’objectivité. Une utopie à laquelle il faut faire confiance pour continuer à suivre l’information transmise par les médias.

Privés d’objectivité, nombre de lecteurs, auditeurs...ont donc déserté leurs marchands de journaux...sauf ceux qui s’acharnent à vouloir vous informer et sont obligés d’ingérer toutes les informations qu’ils peuvent pour fonder leurs dires par des recoupements sérieux et continuer à être encore crédibles et lus.

 

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9 février 2023 4 09 /02 /février /2023 18:48
UNN SYMBOLE VIVANT VRAIMENT ÉCOLOGIQUE

UNN SYMBOLE VIVANT VRAIMENT ÉCOLOGIQUE

 

 

POUR LA FIN D’UNE ÉCOLOGIE PUNITIVE, UNE IDÉOLOGIE ET SES AYATOLLAHS

 

L’ÉCOLOGISME EST UNE IDÉOLOGIE TOTALITAIRE ET MEURTRIÈRE

 

Le spectacle et propos désolant que nous donnent dans les médias les prétendus et autoproclamés écologistes et verts nous contraignent à expliciter une réflexion humaniste et sévère afin que chacun prenne conscience des déviations pour condamner un mode de pensée et d’action qui va à l’encontre de la cause qu’ils prétendent défendre.

D’abord, rappelons que l’ÉCOLOGIE étymologiquement cela signifie l’Économie de la Maison : du grec oikos (la maison) et logos (la science, l'étude, le discours).

L’écologie est littéralement l'étude de l'habitat. Ce n'est pas une foire...c'est une chose tellement séreieuse qu'il ne faut pas la confier à des politiciens.

Notons aussi que l’écologie ne date pas d’aujourd’hui : le terme écologie aurait apparu en 1866 sous la plume d'Ernst Haeckel, biologiste adepte et promoteur de la théorie de l'évolution darwiniste.

Or, plus on avance, plus on s’aperçoit que l’écologie qui nous est imposée est non pas protectrice mais dévastatrice. Elle est devenue une idéologie avec tout ce que cela comporte comme excès, comme dangers mortifères, comme intolérance. C’est l’imposition forcée de la pensée unique.

Malheur à celui qui ne pense pas comme l’écologiste qu’il a en face de lui : il est méprisé, ridiculisé, honni, banni au nom d’une idéologie nommée : écologisme.

Ce mode d’action et de pensée vise à formater l’individu, à l’asservir avec le soutien des moyens étatiques qu’il accapare.

Cela nous rappelle avec tristesse les années du vingtième siècle ou le marxisme et son exécutant le communisme et le nazisme ont propagé le mensonge, la misère, le droit de tuer celui qui est simplement soupçonné d’être un ennemi du peuple ou de ne pas penser comme le chef suprême.

Les idéologies ont ainsi tué des dizaines de millions de personnes au milieu du vingtième siècle.

Ne laissons pas l’écologisme idéologie tuer l’écologie tout court.

 

L’ÉCOLOGIE N’EST NI DE DROITE NI DE GAUCHE. C’EST UNE PRISE DE CONSCIENCE COLLECTIVE POUR PRÉSERVER LES ACQUIS HUMAINS DEPUIS DES MILLÉNAIRES ET POURSUIVRE L’ŒUVRE COMMUNE VERS UNE AMÉLIORATION DE LA CONDITION HUMAINE

Boutons hors de nos frontières les faiseurs de cinéma de politique écologiste. Reprenons collectivement le fond de commerce des politicards français de l’écologisme pour en faire une grande cause commune qui doit rayonner au niveau de la planète. La France sait faire quand il s’agit de promouvoir de grands mouvements humanistes.

 En effet, l’écologie saine que nous défendons avec la majorité silencieuse est l’expression et l’action simple et naturelle de l’homme libre et conscient des dangers qui l’entourent et menacent la planète.

Les écologistes quand on examine leur comportement au lieu de donner envie d’adhérer à une cause sont devenus des repoussoirs qui ne méritent pas les honneurs que leur font les médias.

Ce ne sont pas non plus pléthore de mesures légales imposées du type loi Climat qui permettront une reprise en main du sauvetage de la planète. La loi ne peut réussir à imposer des règles miracles accompagnées de sanctions illusoires...c’est l’adhésion citoyenne à un comportement individuel qui deviendra collectif et responsable qui permettra de faire avancer la cause du sauvetage pragmatique de la planète.

Les professionnels politiciens en mal d’honneur et champions des luttes intestines au sein d’un monde d’irresponsables avec la complicité des médias ne réussissent qu’à faire reculer la cause écologique.

Ils ont écœuré les citoyens français et les ont poussés à l’abstention et au mépris pour les politiciens de droite et comme de gauche qui ne visent que la cueillette de voix.

L’écologie, c’est un mouvement qui réhabilite l’homme et son pouvoir de réflexion et d’action. La pratique de l’écologie saine ne condamne pas. Elle tâche d’améliorer pragmatiquement la qualité de vie et les rapports humains sans avoir besoin de passer par la case des interdits et autres oukases que nous assènent les écologistes politiciens.

 

L’écologie c’est NOUS TOUS qui devons la prendre en charge concrètement et rapidement.

 

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15 janvier 2023 7 15 /01 /janvier /2023 21:48
L'EAU DU ROBINET : UN BIEN PRÉCIEUX

L'EAU DU ROBINET : UN BIEN PRÉCIEUX

 

 

MÉFAITS DE L’ÉCOLOGISME ET UNE GESTION TRÈS CRITIQUABLE DE LA RESSOURCE EAU

Suite de

https://www.olonnes.com/2023/01/la-facture-d-eau-s-alourdit-la-faute-a-l-energie-a-l-inflation.certainement-pas.html

 

La France a le privilège de ne pas manquer d’eau comme l’atteste la pluviométrie au niveau national (800 millmètres par an) mais elle a beaucoup de mal à exploiter cette chance mal répartie dans le temps et dans l'espace mais surtout trop abandonnée aux lobbys et aux politiques.

L’écologisme a non seulement cassé la fière nucléaire française qui avait 15 ans d’avance sur les autres pays du monde lancés sur cette filière (USA, CHINE, RUSSIE et dans une moindre mesure GRANDE BRETAGNE) mais il a aussi participé à la casse de notre production d’eau potable nécessaire pour vivre et survivre.

Nous devons ainsi à des "politiques" écologistes des casses dans le domaine de l’eau comme le fit Madame Dominique VOYNET qui a enterré le projet grandiose en cours de réalisation de la Compagnie Nationale du Rhône CNR (société nationale).

Ce projet fluvial devait permettre de relier le Nord de l’Europe et ses grands ports au Sud de la France avec Marseille, alliant production d’énergie hydroélectrique, la relance de la navigation fluviale et des améliorations au niveau agricole.

Nous devons aussi à l’écologisme l’arrêt de la construction exploitation de nouvelles centrales hydro-électriques. Voir, par exemple, l’abandon scandaleux du projet de barrage sur l’Auzance et là encore on vit le lobby Vert bien implanté au niveau européen détruire la capacité française de diversifier ses « sources » d’eau potable.

On voit même maintenant, parmi les casseurs, le « syndicat » FNSEA qui vient au secours des « bassines », ces réservoirs qui peuvent atteindre une superficie de 100 hectares et plus pour permettre à des privilégiés d’utiliser, à leur seul profit, l’eau, bien commun, pour une irrigation forcenée, néfaste pour des productions agro-alimentaires pas nécessairement utiles.

SI VOUS PAYEZ CHER ET BIENTÔT BEAUCOUP PLUS CHER VOTRE EAU, C’EST SIMPLEMENT AUSSI PARCE QUE CE « BIEN COMMUN » QUE DAME NATURE OFFRE À L’HOMME EST MALTRAITÉ PAR CELUI-CI.  NOUS SOMMES DONC AUSSI TOUS UN PEU OU BEAUCOUP RESPONSABLES !

 

À SUIVRE...

UN MODE DE GESTION TRÈS CONTROVERSÉ : LA DÉLÉGATION DE SERVICE PUBLIC

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14 janvier 2023 6 14 /01 /janvier /2023 17:43
LA FACTURE D’EAU S’ALOURDIT : LA FAUTE À L’ÉNERGIE, À L’INFLATION ...? CERTAINEMENT PAS

 

 

EN France, L’EAU ET SA FACTURE NE COULENT PAS, ELLES S’ENVOLENT

Ce vendredi 13 janvier 2023 fut jour de malchance pour de nombreux français qui voient tomber des décisions municipales qui annoncent la hausse du prix des m3 d’eau sur leur commune et donc sur leur facture d’eau. 

 

Exemples de ce 12 janvier 2023 pris dans Ouest-France :

« En 2023, les prix de l’eau vont augmenter dans de nombreuses communes. Les collectivités ont décidé de cette hausse applicable au 1er janvier.

Ainsi, à Rennes (Ille-et-Vilaine) et alentour, la collectivité Eau du bassin rennais a annoncé une hausse du prix de l’eau pour ses 240 000 abonnés. Cette hausse devrait s’établir à 1,50 € en moyenne par mois. Et c’est loin d’être le seul endroit de France frappé par cette augmentation.

À Nantes (Loire-Atlantique), les élus du conseil métropolitain ont eux aussi décidé de revoir les prix de l’eau : la partie abonnement va diminuer et la partie consommation va, elle, augmenter. Une manière d’avantager les foyers qui consomment peu, indiquent nos confrères de 20 Minutes . »

https://www.ouest-france.fr/economie/consommation/inflation-pourquoi-votre-facture-d-eau-va-augmenter-066bdde0-91c7-11ed-8422-8c5ee4e04114

 

JETEZ UN ŒIL SUR VOTRE FACTURE D’EAU : PEU D’EAU À PAYER MAIS BEAUCOUP D’AUTRES CHOSES À PAYER

Vous ne payez pas simplement l’eau que la nature vous offre gracieusement...mais bien d’autres choses dont les taxes (dont TVA sur ce bien de première nécessité). (voir photo ci-dessus).

L’eau est un bien commun gratuit qui coûte pourtant trop cher à celui qui l’utilise. Nous le démontrerons.

Quand on parle du coût de l’eau potable cela signifie que le particulier « abonné » paye tout ce qui concerne son eau potable depuis sa collecte (source ou souterraine) jusqu’à son retour dans la nature après usage (« assainissement »)

Vous payez le traitement, les infrastructures de transports, le traitement des eaux pour la rendre buvable, les taxes, l’assainissement, les coûts du recours à des prestataires (VEOLIA, SAUR, LYONNAISE...), le coût du personnel municipal affecté au service assainissement...

En principe, « l’abonnement » est affecté ou justifié par les investissements effectués par les collectivités et parfois par des délégataires pour que l’eau collectée depuis sa source soit d’une part acheminée, auprès du consommateur et d’autre part, redevienne consommable par celui-ci après avoir été utilisée et souvent polluée.

 

LA POLLUTION ENNEMIE DE L’EAU POTABLE ! POLLUEUR PAYEUR ?

Que ce soit l’eau d’origine souterraine ou celle de ruissellement (eau de pluie) stockée dans les retenues (barrages), l’eau doit être maintenant être traitée. Qui va boire encore l'eau qui coule sur la place du village ?

Ces traitements sont de plus en plus complexes et donc lourds financièrement puisque la pollution du milieu naturel ne cesse de croître depuis des siècles et que les usines de traitement, les traitements et les produits utilisés sont facturés aux consommateurs.

Ce qui est plus grave c’est que le progrès industriel, médical, agricole... accroît sans cesse et de manière exponentielle la pollution de l’eau consommable et donc le coût du traitement de l’eau pour la rendre potable et qu’en plus le nombre de consommateurs ne cesse de croître.

Il faut ajouter à cette vision des choses le fait que la fameuse industrie agro-alimentaire chimique d’un part nourrit mal son homme mais pire d'autre part, elle pollue notre planète et son eau pour des dizaines voire des centaines d’années.

Pour freiner ctete fuite en avant, Il faudra que nos gouvernants arrivent à appliquer le principe du pollueur payeur et que l’État tienne ses promesses en interdisant des pratiques nocives pour la santé publique.

Il y a donc là aussi la nécessité d’une éducation des citoyens depuis le plus jeune âge : l’eau est un bien commun inépuisable à condition de bien l’utiliser et de respecter la nature.

 

À SUIVRE ...

MÉFAITS DE L’ÉCOLOGISME ET UNE GESTION TRÈS CRITIQUABLE

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12 janvier 2023 4 12 /01 /janvier /2023 23:08
LE TERRITOIRE DE L'AGGLOMÉRATION DES SABLES D'OLONNE

LE TERRITOIRE DE L'AGGLOMÉRATION DES SABLES D'OLONNE

 

 

 

 

LE CAS DU SCoT DES SABLES D'OLONNE "AGGLOMÉRATION"...LA CONCERTATION À LA PEINE

Suite de :

https://www.olonnes.com/2023/01/les-sables-d-olonne-le-scot-de-l-agglomeration-l-elaboration-d-un-carcan-necessaire-suite.html

Repartons de l'existant ...le territoire des Sables d'Olonne se compose des communes des Sables d'Olonne (regroupant les Sables d'Olonne, Olonne-sur-Mer et Château d'Olonne), de Vairé, de Sainte-Foy, d'Ile d'Olonne et de Saint-Mathurin. Ceci représente bien un territoire, un bassin d'emploi d'environ 56 000 habitants qui regroupe les deux anciennes communautés de communes rejointes par la commune de Saint-Mathurin.

Chacune de ces communes a son plan d'urbanisme avec des normes logiquement différentes les unes des autres en matière d'urbanisme.

Il est donc maintenant nécessaire et obligatoire pour les Sables d'Olonne Agglomération pour être en conformité avec  la législation concernant l'urbanisme d'établir un SCoT fixant les principes et les normes d'urbanisme pour son territoire. Nous reprécisons que ces normes s'appliqueront à l'urbanisme de toutes les composantes du territoire de l'Agglomération des Sables d'Olonne.

 

LES GRANDS PRINCIPES POSÉS ET LES CONTRAINTES POUR SAUVEGARDER LES ÉQUILIBRES FRAGILES : DÉMOGRAPHIE, ZONES CONSTRUCTIBLES, SERVICES PUBLICS ADAPTÉS AUX DONNÉES NOUVELLES, DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE...

Il faut retenir de cette présentation faite le 5 janvier 2023 que le SCoT est un document de planification et d'aménagement du territoire qui fixe les normes d'urbanisme pour les 20 prochaines années . 

Ainsi, il faudra trouver, par exemple, un  équilibre entre la forte demande en matière de résidences secondaires par rapport aux résidence à l'année.

Il faut aussi prendre en considération les mesures "écologiques" concernant les déplacements, les espaces verts, le patrimoine à protéger, les économies d'énergies...

Il y a des chiffres qui font peur. 

Alors que la population actuelle sur l'Agglomération est de 56 000 habitants, elle ne devrait pas dépasser les 65 000 en 2040 soit une augmentation de 9 000 habitants. Or, actuellement la seule ville des Sables d'Olonne a une augmentation moyenne de 500 habitants par an...cela fait  "statistiquement" 10 000 habitants de plus pour les 20 ans à venir...Si on ajoute à cette donnée la forte croissance des 4 autres communes retro-littorales... faudra-t-il déjà contingenter la venue de nouveaux habitants et comment faire?

Pour le  foncier constructible, il faudra densifier les constructions pour ne pas consommer trop d'espace.

Pour la période 2020/40, il faudra un minimum de 30 logements par hectare pour le secteur des Sables d'Olonne et 21 logements par hectare pour le rétro-littoral. Comment cela pourra-t-il être suivi et contrôlé ?

La consommation d'espace pour l'urbanisation sera donc ainsi limitée...la planification devient ou peut devenir ainsi coercitive pour respecter les objectifs fixés !

Avec ces deux exemples on peut bien imaginer combien les citoyens doivent se sentir concernés et réagir, proposer...

 

LA CONCERTATION EN COURS : L'ESSENTIEL EST DE PARTICIPER ?

La première présentation publique du projet a donc été faite le 5 janvier 2023, dans la salle Gargamoëlle (quartier de Château d'Olonne).

Est-ce la date qui fut mal choisie ? Est-ce la communication sur cette réunion que nous jugions importante mais qui n'a pas été suffisante ? Toujours est-il que le public concerné (tous les citoyens) n'était pas au rendez-vous..le public composé des  élus, du personnel de l'agglomération et des citoyens  n'a pas atteint les 50 personnes...même les élus de l'Agglomération ont brillé par leur absence.

L"Agglomération 56 000 habitants concernés par ce SCoT...20 à 30 présents pour cette présentation, c'est peu, très peu...la concertation élus citoyens n'est pas encore vraiment entrée dans les mœurs. 

Cette présentation a été faite par la Société Futur Ouest qui participe à l'élaboration des projets. Un document tés aisément compréhensible est maintenant consultable avec le lien c ci-dessous :

https://fr.calameo.com/read/0053312500d0f43a800c8

Chacun peut ainsi juger en quelques minutes de l'importance du SCoT pour l'avenir du Pays des Olonnes.

La concertation SCoT se poursuit donc jusqu'à mi-février et tous les citoyens peuvent s'exprimer sur le projet.

Il reste donc un mois aux citoyens pour se manifester !

Vous pouvez déposer vos observations à l’adresse suivante  : revision.scot@lsoagglo.fr

 

 

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