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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 21:28
SOUVENIR D'UNE CLINIQUE

SOUVENIR D'UNE CLINIQUE

 

SAUVER LE SERVICE PUBLIC DE LA SANTÉ AVEC UN AUTRE REGARD SUR SA GESTION

Suite de

https://www.olonnes.com/2024/03/des-causes-de-la-penurie-de-medecins-et-des-perspectives-peu-rassurantes.html

Dans notre précédente parution nous avons fait, sans trop de prétention, un état des lieux sur la pénurie en matière de médecins et globalement de personnel soignant au sens large. Mais ceci n’est qu’un aspect de la défaillance constatée du Service Public de la Santé.

Ce qui est plus grave et mis en avant dans le malaise, c’est l’échec complet de la gestion où l’administratif qui l’a emporté sur l’humain.

 

AVANT DE LANCER DES RÉFORMES IL FAUT D’ABORD REPENSER LE SYSTÈME EN POSITIONNANT L’HUMAIN AVANT LES CHIFFRES

La gestion comptable et statistiques et la rentabilité de l’Hôpital, du patient, des soignants...l’a emporté sur la notion de Service Public dans un secteur où l’humain doit l’emporter sur les chiffres.

COVID 19 nous a montré les failles du système en place. Le Service Public de la Santé est malade et cependant le personnel a été capable d’assumer avec talent l’essentiel.

Le médecin n’est pas une machine qui produit et travaille des pièces standards et le patient n’est pas un client comptabilisable.

Aujourd’hui, ce qui est aberrant c’est d’avoir surchargé en administratif le service de la Santé ; un médecin généraliste passe 20 % de son temps en administratif, en tâches qui l’empêchent de recevoir sa clientèle.

 

IMPOSER DE SUPPRIMER DES LITS DANS LES ÉTABLISSEMENTS DE SOIN CE N’EST PEUT-ÊTRE PAS FAIRE NÉCESSAIREMENT DES ÉCONOMIES

Supprimer des lits dans les hôpitaux, ce n’est pas supprimer des malades quoi que !...ceux-ci ne sont pas des pièces faites à la chaîne, qu'on peut envoyer au rebut s'il y a un petit défaut, chaque patient est différent, chaque soignant a son savoir et sa sensibilité...

Cela, ceux qui ont mis en place l’appareil administratif dans le service Public (on retrouve cela aussi dans la Justice) ne l’ont pas compris dans leurs projets et dans leurs rapports avec le monde des soignants et donc des malades.

Supprimer bêtement et comptablement de la rééducation à un patient opéré peut être contreproductif financièrement et aberrant.

Ce n’est pas parce qu’un médecin fait moins ou plus d’actes que son collègue qu’il est meilleur que son collègue.

Nous pourrions multiplier les exemples de ce type.

 

NOUS POUVONS CEPENDANT AMÉLIORER IMMÉDIATEMENT CERTAINES CHOSES

Poursuivre la réforme des études entamée avec la création par la loi du 7 juillet 2009 complétée par la loi  du 24 juillet 2019 relative à l’organisation et à la transformation du système de santé et qui supprime la PACES (Première Année Commune aux Études de Santé) et mais en  fixe les modalités pour accéder aux études des professions de santé. Ce devait être l’abolition du « numerus clausus »...il ressort de nos recherches que, d’après les professionnels, l’objectif soit loin d’avoir été atteint ...15 ans après le vote de la première loi. La machine est vraiment très longue à se mettre en route.

Répondre clairement à la question de la gratuité des Études, son articulation avec la « rémunération » des services demandés ou exigés aux futurs praticiens avec un statut d’étudiant évolutif tout au long de cet « apprentissage »

Revoir le statut du médecin exerçant en profession libérale

Revoir la juste rémunération des médecins et de tous les soignants

Simplifier les tâches administratives et particulièrement celles qui incombent aux soignants

Articuler plus et mieux la complémentarité de l’offre de soins entre le privé et le public...COVID 19 a bien montré que c’était jouable

Faciliter le départ à retraite et la succession...

...

 

Aura-t-on enfin un jour un Ministre de la Santé qui sache faire bouger les choses et qui sache d’abord écouter et parler à toutes les catégories de personnel du Service Public de la Santé qui sont au service de la population et de sa Santé Publique ?

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26 mars 2023 7 26 /03 /mars /2023 15:00
MIEUX VAUT UNE PETITE BASSINE BIEN ACQUISE CHEZ SOI QU'UNE MÉGA-BASSINE MAL GÉRÉE CHEZ LES AUTRES

MIEUX VAUT UNE PETITE BASSINE BIEN ACQUISE CHEZ SOI QU'UNE MÉGA-BASSINE MAL GÉRÉE CHEZ LES AUTRES

 

 

 

 

 

IMBÉCILE BÉCASSINE TREMPE TON ... DANS LES MEGA-BASSINES TU ME DIRAS...

 

RISQUE D’ATTEINTE ET DE REMISE EN CAUSE DE LA LIBERTÉ DE MANIFESTER

 

Nous espérions qu’en Deux-Sèvres, la journée de l’eau, le 22 mars 2023, fêtée abusivement ce week-end des 25 et 26 mars, ne sera pas une nouvelle fois des journées de la casse et du sang  !

Là aussi, nous voyons les méfaits de l’abus et du détournement des libertés fondamentales comme celle de manifester pour défendre une opinion. Cette liberté est un privilège de nos démocraties. Mais elle est fragile. Il appartient à l’État de la garantir et de la protéger.

Nous savons tous qu’il est tentant pour un Pouvoir de laisser une manifestation dégénérer pour tuer une cause qui peut être juste et défendable par les voies légales...

Un jour, il faudra tirer sereinement les conclusions des débordements de violence lors de l’épisode des Gilets Jaunes ! Y a-t-il eu des provocations ? Y a-t-il eu des dysfonctionnements dans la politique du maintien de l’ordre ?...

Comme il faudra bien analyser les dysfonctionnements de l’État dans la gestion du projet " Aéroport de Notre Dame des Landes".

Si manifester légalement devient la liberté de casser, d’instaurer la violence au lieu du dialogue, c’est le principe de la liberté qui peut ainsi être remis en cause.

Les professionnels organisateurs de la violence commettent une double faute :

  • Une menace sur une liberté fondamentale,
  • Une contre-performance pour la défense d’une cause qui pourrait être juste.

Le printemps revient et le droit de manifester aisément ses opinions et de manifester tout court réapparait mais le dialogue reste toujours un art difficile.

Ainsi la guerre pour ou contre les méga-bassines dans l’ouest de la France a repris pour fêter la journée de l’eau.

 

EAU : REVENIR AUX FONDAMENTAUX

- L’EAU EST UN BIEN COMMUN À PRÉSERVER

- LA CULTURE AGRO-CHIMIQUE N’EST PAS UNE BONNE CHOSE POUR LA SANTÉ, POUR LA NATURE, POUR LE DÉVELOPPEMENT DURABLE. Elle n’est pas maîtrisée surtout ses effets nocifs laissent des traces indélébiles pour des décennies.

- LES LOBBYS N’ONT PAS LEUR PLACE DANS LA PARTICIPATION AUX RECHERCHES DE LA VÉRITÉ SUR LA PRÉSERVATION DU MILIEU NATUREL PUISQU’ILS AGISSENT POUR DÉFENDRE DES INTÉRÊTS PERSONNELS ET NON L’INTÉRÊT GÉNÉRAL

 

POURQUOI LES MÉGA-BASSINES NE SONT PAS LA SOLUTION ?

D’abord parce que l’eau est un bien commun indispensable que la nature nous donne et que son usage à titre privatif sans contrepartie donnée à la collectivité ne peut donc être admis. Ce système méga-bassines  génère abusivement des privilèges parfois insupportables.

Ensuite, parce que l’agriculture polluante doit abandonner ses pratiques néfastes,

Parce que la France doit retrouver son modèle agricole de production de qualité et que, si cela a un coût, il faudra un effort national et européen pour revenir à des pratiques agricoles acceptables et contrôlées sérieusement et en toute impartialité,

Mais pour cela, il faut une meilleure connaissance scientifique et objective des problèmes pour juger par exemple de l’intérêt des bassines. Les «experts » ne sont même pas d’accord sur un élément essentiel concernant l’irrigation : le pourcentage d’eau stockée dans une bassine qui s’évapore et donc, cette eau stockée n’est même pas utilisée pour l’irrigation !!! Sur ce point, suivant les études et annonces des données oscillent entre 5% et 50 % ! Sur le suivi de l’évolution de la nappe phréatique, idem... on est dans le vague depuis des années avec des études contradictoires . Ce n’est pas sérieux...mais à propos : à qui profite le crime ?

Sur le plan des contrôles, pour la première fois, nous voyons écrit qu’il faut « découpler » Chambre d’Agriculture (aux mains de la FNSEA) et les contrôles du respect des règles légales. Le contrôleur ne peut être dépendant du contrôlé...car, en toute impunité, il y a des « truands » qui disposent depuis des années de forages interdits pour maintenant remplir leurs bassines, il y en a d’autres qui puisent l’eau des rivières alors qu’il y a interdiction, il y en a qui irriguent en toute impunité à des heures interdites...  et à côté de ceux-là il y a d’autres exploitants, d’autres professions qui souffrent des mesures restrictives mais respectent les interdictions,

 

LA FRANCE NE MANQUE PAS D’EAU MAIS IL LUI MANQUE UN BON MODE DE GESTION DE CETTE RICHESSE

Il faut savoir que la France ne manque pas d’eau : la partie « utilisée » est infime par rapport à la ressource. Cela est une donnée sûre (Études CNRS). Il faudrait cependant une mise à jour sérieuse de ces études.

Il y a donc bien un problème de l’eau au niveau de l’agriculture, comme il y a un problème de l’utilisation des pesticides. Tout cela est maîtrisable si la puissance publique exerce, en toute impartialité, son devoir qui est de faire appliquer la loi : les lobbys camouflés au sein de la FNSEA et les autres encore plus camouflés doivent être chassés : l’eau est un bien commun il ne peut bénéficier à certains privilégiés...sinon la colère de certains trouvera sa justification !

Nous verrons bien comment le Tribunal des Sables d’Olonne va sanctionner les fraudeurs qui ont été « verbalisés » ! Le débat est ouvert.

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13 mars 2023 1 13 /03 /mars /2023 12:00
DERRIÈRE CETTE FAÇADE LES "CONSEILLERS"AVEC LA PUBLICATION DE LEURS TRAVAUX TENTENT D'ALERTER LES FRANÇAIS

DERRIÈRE CETTE FAÇADE LES "CONSEILLERS"AVEC LA PUBLICATION DE LEURS TRAVAUX TENTENT D'ALERTER LES FRANÇAIS

 

 

 

 

L'AVERTISSEMENT DE LA COUR DES COMPTES SERT À QUELQUE CHOSE MAIS C’EST TROP PEU POUR FAIRE CHANGER LA POLITIQUE DU PRÉSIDENT MACRON

 

Certes, le travail sérieux, laborieux et trop silencieux de la Cour des Comptes est considéré, un peu à juste titre, comme inutile puisque ses recommandations le plus souvent ne sont pas suivies.Comme elle ne sanctionne pas les dérapages qu’elle relève effectivement, on peut donc souvent se demander à quoi ont pu servir ses « observations » et « rapports ».

Le titre de ces éminents serviteurs de l’État qui travaillent au sein de la Cour des Comptes est d’ailleurs celui de « conseiller » et non de juge et sanctionneur : on n'a jamais vu des comptes aller en prison !

Mais ses travaux notamment ses rapports ont le mérite d’être et donc de faire un peu réfléchir. C’est un peu comme une alarme qui, une fois qu’elle a poussé son cri, laisse les voleurs faire leur sale boulot puisque la police ne se dérangera pas.

Mais, au moins avec les rapports des Cour des Comptes, les élus et normalement les citoyens ne peuvent pas dire qu’ils ne savaient pas.

Au fil du temps, la Cour des Comptes tisse sa toile et ses compétences s’élargissent.

La Cour des comptes est ainsi le « juge » ou plutôt le sur-contrôleur des comptes publics mais il n’est pas que cela.

Elle « assiste » aussi le Parlement dans le contrôle de l’action du Gouvernement.  Cette mission, figurant dans la Constitution (article 47).

 

LE RAPPORT ANNUEL DE LA COUR DES COMPTES : ALERTE AUX DÉPENSES PUBLIQUES : LA France MAL GÉRÉE ET CELA NE VA PAS CHANGER

Ainsi son rapport 2023 qui vient de sortir était attendu après la crise sanitaire pour savoir où va la France, où va son État tentaculaire qui consomme 56 ,6% du PIB. Les dépenses excessives de l’État conduisent à la faillite du pays.

Nous nous sommes donc penchés sur ces rapports pour vous en donner la teneur et alerter les français.

L’édifice État français est très mal géré.

« Les expériences passées (révision générale des politiques publiques - RGPP, modernisation de l’action publique -MAP, action publique 2022 - AP 2022), dont la capacité à identifier et mettre en œuvre des montants conséquents d’économies s’est révélée limitée, montrent que la réussite réside dans une volonté politique forte et une adhésion collective de tous les acteurs de la dépense publique

Cette belle conclusion est sans appel :

    • Il faut que l’État dépense mieux et moins,
    • L’État ne sait pas faire des économies,
    • Sauf s’il y a une réelle volonté politique qui est loin d’être évidente la France fonce droit dans le mur !

 

LA COUR DES COMPTES INTERPELLE UNE NOUVELLE FOIS LE PRÉSIDENT MACRON : AVEC UN CONSTAT QU’IL FAUT REDRESSER LA BARRE TOUT DE SUITE

« Malgré les critiques qu’elle exprime sur les objectifs et les hypothèses du projet de loi de programmation des finances publiques, la Cour rappelle, comme elle l’a fait à plusieurs reprises, la nécessité que la France dispose d’une telle loi pour respecter ses engagements européens et crédibiliser ses objectifs de finances publiques à moyen terme

La situation actuelle des finances publiques ne permet plus de repousser à nouveau le nécessaire retour à une trajectoire soutenable et durable. »

« UN PROGRAMME DRASTIQUE POUR INFLÉCHIR LE RYTHME DES DÉPENSES SANS ATTENDRE DEMAIN »

« Il sera donc essentiel à l’avenir de faire preuve de sélectivité dans les dépenses comme dans les baisses discrétionnaires de prélèvements obligatoires, d’engager des réformes ambitieuses dans certains secteurs clés pour infléchir durablement le rythme de la dépense, sans repousser les efforts à la fin de la période de programmation, et de faire du renforcement de son efficience une priorité de premier rang. »

 

OR, LE PROGRAMME 2023/2027 PRÉSENTÉ PAR LE GOUVERNEMENT ET LE PRÉSIDENT MACRON N’EST PAS CRÉDIBLE ET INCOMPATIBLE AVEC UN REDRESSEMENT NÉCESSAIRE ET URGENT

En conséquence, compte tenu de cela et du niveau de la dette et des dépenses publiques, les risques sont identifiés :

    • les sanctions des marchés financiers dont le risque de faillite comme ce fut le cas pour la GRÈCE,
    • le Président Macron et son ministre Bruno LEMAIRE continuent leur politique de fuite en avant puisqu’ils annoncent un plan qui ne fait que  « repousser les efforts à la fin de la période de programmation » comme par hasard après 2027, fin de ce quinquennat.

Donc, le Président de la République en s’obstinant dans sa politique dépensière « quoi qu’il en coûte » laissera en 2028 et peut-être avant une France en faillite !

 

 

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4 mars 2023 6 04 /03 /mars /2023 17:58
LE CLIENT D'UNE BANQUE EN FRANCE PRÉSUMÉ COUPABLE DE BLANCHIMENT D'ARGENT ET DE TERRORISME

LE CLIENT D'UNE BANQUE EN FRANCE PRÉSUMÉ COUPABLE DE BLANCHIMENT D'ARGENT ET DE TERRORISME

 

 

LES BANQUIERS ET LEURS CLIENTS : UNE SITUATION DÉGRADÉE

 

Poursuivons notre pérégrination dans le monde bancaire en développant l'incroyable que nous avons vécu.

Ce voyage nous a projeté dans un monde où la Banque sur "ordre de l'État"ne cesse d'imposer au client des contraintes nouvelles tout en diminuant sans cesse la qualité du service rendu.

Suite de:

https://www.olonnes.com/2022/10/les-banques-n-aiment-plus-leurs-clients.html

D’un côté, nous sommes informés souvent de nouvelles mesures souvent contraignantes pour protéger nos données personnelles sur nos portables, sur nos ordinateurs personnels... et de l’autre côté, nous apprenons régulièrement que des hackers avaient encore réussi à s’introduire dans les ordinateurs soi-disant protégés et à voler des données personnelles médicales, financières, bancaires ...des particuliers, des entreprises, des services d’État...

Et maintenant, la Banque va imposer à son client de lui fournir des données personnelles sans respect des  garanties de confidentialité sur ces données !

 

LA BANQUE COLLECTEUR INTRAITABLE DE VOS DONNÉES PERSONNELLES : L’INQUISITION

FOURNITURE OBLIGATOIRE DE DONNÉES TRÈS PERSONNELLES

La liste des questions très personnelles posées par notre « conseiller » s’allongeait alors que notre rendez-vous n’avait comme seul objet celui de clore un compte d’assurance vie pour des besoins de trésorerie urgents !

Compte tenu des questions personnelles posées, nous avons décidé de cesser d'y répondre alors que notre « conseiller » n’était pas arrivé au bout des questions qu’il devait poser pour compléter toutes les rubriques figurant sur son écran.

 Simplement, nous voulions savoir où il voulait en venir et si nous étions dans l’obligation de répondre à toutes ses questions (notre situation de famille, impôts, revenus, placements...). La réponse du conseiller fut : c’est la loi, ce sont des circulaires qui nous imposent de faire cela.

Et le chantage a suivi : si nous ne répondions pas, il refuserait de s’occuper de notre dossier et de nous donner tout conseil : pas d’information, pas de conseil, pas d’opérations bancaires sur notre compte !!!

Nous avons donc réitéré simplement notre demande de justifier le pourquoi de cette inquisition et son fondement en lui rappelant que nous étions un client depuis plus de 30 ans ...Il avait donc eu largement le temps de s'informer sur notre situation.

Nous lui avons suggéré faire venir sa chef (e)!..il est effectivement sorti de son bureau. Son retour fut, sans sa chef (e), mais avec le document qui figure en illustration ci-dessus. Ce document est censé justifier son droit ou pire son devoir d’inquisiteur.

C’est la copie d’un arrêté de 2009, signé Christine LAGARDE, qui fixe les droits et devoirs des banques en matière d’informations « liées à la connaissance du client et de la relation d’affaires aux fins d’évaluation des risques de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme » 

D’abord ce qui se conçoit bien s’énonce clairement...du pur jus de l’énarchie cette circulaire !

Deuxièmement, et plus grave, le client est donc  présumé fraudeur ou terroriste par le seul fait qu'il est ou devient client d'une banque qui, elle  est prisonnière d’une circulaire qui porte atteinte aux libertés individuelles. Ce texte dont la valeur juridique est à relativiser contraint les banques à une action de collecte d'informations abusive voire humiliante pour celui qui pose la question et celui qui doit, sous la menace, y répondre

Pourquoi les banques ont-elles accepté ce rôle de "flic" qui n'est vraiment pas le sien ?

À SUIVRE...

ATTEINTES AUX LIBERTÉS INDIVIDUELLES DES CLIENTS D'UNE BANQUE ET DIVULGATION DE DONNÉES PERSONNELLES

 

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1 juillet 2022 5 01 /07 /juillet /2022 19:33
L'ÉGLISE ROMANE SAUVÉE DE LA DÉMOLITION

L'ÉGLISE ROMANE SAUVÉE DE LA DÉMOLITION

 

 

SAINT JEAN D'ORBESTIER : LE DÉNOUEMENT HEUREUX D'UNE LONGUE HISTOIRE AVEC DES PÉRIODES DE TURBULENCES?

Depuis plus d'un millénaire le site en a vu tant d'autres !

Au Conseil Municipal des Sables d’Olonne de ce lundi 27 juin le Patrimoine de la Ville a donc été à l’honneur et il s'est enrichi.

Depuis des décennies le site de Saint Jean d’Orbestier est l’objet de non débats, de spéculations, de délaissements.

Heureusement, que dans les années 1980, un groupe de bénévoles éclairés a sauvé de la disparition totale le joyau que constituaient les ruines de l’Église Romane (capitulaire daté de 1107) et lancé avec le soutien de Louis GUEDON, ancien maire des Sables d’Olonne,  celui des Services culturels et patrimoine du Département de la Vendée et de la Région Pays de la Loire. Aujourd'hui nous nous devons de rendre hommage à la clairvoyance et à la ténacité de Monsieur Jacques VIGUIÉ, vice-président du Conseil Régional et à Monsieur Joël GUERSENT alors Directeur de l’ÉREA et à l’équipe constituée pour ce sauvetage.

Mille ans d’histoire, voire plus si les fouilles font réapparaître des traces de civilisations qui pourraient remonter à l’ère gallo-romaine, sont inscrits dans la pierre et le sous-sol de ce site.

Ce qui était demandé aux élus, en ce lundi 27 juin 2022, n'était que l’approbation de la délibération qui acte le rachat par la ville de 26 642 m²au propriétaire qui n’est autre que la Région.

Cet indispensable acte juridique signe le retour du cœur du site principal qui est l’Abbaye Saint Jean d’Orbestier et de son environnement immédiat qui comprend l’établissement EREA (Établissement Régional d'Enseignement Adapté) dans le patrimoine du Pays des Olonnes au sens large.

 

UN DÉBAT QUI NE FUT PAS À LA HAUTEUR DES ENJEUX

C’était donc la question N°1 de ce dernier Conseil Municipal.

Les motivations du rachat pour 3 690 000 millions d’euros de cet espace majeur pour la valorisation et la préservation des espaces naturels (Plan Forêt Climat 2050) et du patrimoine sablais sont fortes et multiples :

-valorisation du patrimoine existant : l’abbaye, le logis du Père Abbé monuments historiques forment un ensemble exceptionnel propice à une valorisation patrimoniale et une animation culturelle de qualité,

- mise en valeur des espaces naturels de cette partie sud du littoral sablais en faisant de l’ÉREA le point pivot d’accueil du public d’un secteur au cœur d’espaces naturels à préserver avec d’importants enjeux environnementaux et intégration paysagère du site,

- possibilité d’accès au logement pour des jeunes.

 

Les questions posées par les élus d'oppositions (Caroline POTTIER, Jacques BARRETEAU et Antony BOURGET) furent quasi uniquement sur le thème du  prix  qui fut fixé de manière réglementaire et sur des précisions sur la transaction et quasiment rien sur le devenir du site.

Certes la délibération ne porte, de manière limitative, que sur l’achat du site mais juridiquement cet achat doit être fondé sur un intérêt général. Ce n’est pas une banale transaction en vue d’accroître les réserves foncières de la collectivité.

D’ailleurs, le Maire Yannick MOREAU a tenté sans succès d’ouvrir le débat sur l’idée naturelle, pour qui connait un peu le site, de mettre en valeur le Logis du Père Abbé.

C’est un des multiples aspects des projets qui vont naître sur le site. Il y en a bien d’autres : rénovation des pêcheries, site culturel, renaturation, poursuite de la rénovation des bâtiments ...

Il serait donc grand temps que les élus et les citoyens responsables s’emparent de « leur nouveau site » et se penchent sur les très grandes possibilités qu’il offre à la Collectivité.

Les élus d’opposition qui se sont abstenus lors du vote ont montré leur désintérêt pour ce nouveau pôle de développement de la Ville mais aussi ils ont étalé leur méconnaissance du dossier et des possibilités exceptionnelles qu’il offre désormais.

Le Maire n’a pu les convaincre d’adopter une attitude positive d’adhésion à cette délibération qui sera suivie de nombreuses autres quand viendront les temps de fixer les grands choix.

Nous avons subi un pauvre débat pour un sujet particulièrement riche et porteur d’avenir aux Sables d’Olonne.

Il est vrai que les élus auront rapidement des occasions de découvrir ce qu’est et ce que peut devenir ce secteur Orbestier, Cayola, Puits d’Enfer...

C'ÉTAIT LA RUINE !

C'ÉTAIT LA RUINE !

VRAIMENT UNE RUINE ...SAUVÉE PAR UNE ÉQUIPE QU'IL FAUDRA REMERCIER

VRAIMENT UNE RUINE ...SAUVÉE PAR UNE ÉQUIPE QU'IL FAUDRA REMERCIER

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16 juin 2022 4 16 /06 /juin /2022 11:23
CE NE SONT PAS LES ÉCOLOGISTES QUI VONT SAUVER LA PLANÈTE, MAIS NOUS TOUS !

CE NE SONT PAS LES ÉCOLOGISTES QUI VONT SAUVER LA PLANÈTE, MAIS NOUS TOUS !

 

LES POLITICIENS ÉCOLOGISTES PROFESSIONNELS DU MENSONGE ET DE L’IRRESPONSABILITÉ

 

Nous ne cessons de dénoncer, depuis des années, au nom de la pratique d'une "écologie raisonnée, pédagogique, vraie, réaliste, citoyenne, participative..." les méfaits des professionnels de l'écologisme politique. Les faits malheureusement nous donnent raison, terriblement raison : ces écologiques professionnels tuent l'écologie. L'écologie se vit localement, se pratique individuellement et localement.

 

Pour illustrer localement notre propos à portée nationale nous rappellerons à nos lecteurs de l’Ouest la mésaventure du barrage sur l’Auzance qui est tombé à l’eau sous la pression des écologistes locaux et dont aujourd’hui on regrette amèrement l’abandon. Pour l’Est citons par exemple FESSENHEIM, ALSTOM...

Gérard COLLOMB (ancien maire de Lyon, Ministre de l'Intérieur...)vient de mettre enfin !  les pieds dans le plat en écrivant sur son compte sur les réseaux sociaux suite au dernier incident grave qui vient d’avoir lieu à LYON :

« Deux morts à La Duchère dans un nouveau règlement de comptes entre bandes. Il faudra combien de temps à l’actuelle municipalité pour admettre que la sécurité doit être la première priorité dans une ville ? Ras le bol de l’angélisme. »

 

RAS LE BOL LES ÉCOLOGISTES PROFESSIONNELS ? DONNEURS DE LEÇONS DIABOLIQUES

Ils nous font penser aux pacifistes sans cervelle qui ont poussé les gouvernements français au désarmement et conduit le pays à la défaite, à la ruine et à la misère.

Les méfaits causés par les écologistes aussi irresponsables que démagogiques dépassent de loin que le problème de Sécurité évoqué par Gérard COLLOMB.

En matière purement politique « LES VERTS » et la lâcheté des politiciens avec qui ils ont collaboré voire qu’ils ont subventionné sont responsables de la gravissime crise de l’énergie que nous subissons.

 

LES « VERTS » SONT :

  • Responsables de programmes de fermeture de centrales nucléaires et de la mort de la filière française nucléaire avec la promesse de mise à l’arrêt des programmes prévus,
  • Responsables de la tromperie qui consistait à dire que les « autres énergies vertes, vertueuses et douces » peuvent aujourd’hui satisfaire les besoins,
  • Responsables de la crise d’EDF qui d’entreprise nationale florissante est devenue super endettée et moribonde,
  • Responsables de l’arrêt de projets rentables économiquement et écologiquement comme les centrales hydrauliques, la liaison RHIN RHÔNE et tant d’autres projets d’exploitation de l’énergie hydraulique locaux.

 

LES VERTS COMME LES ANTIMILITARISTES DE BASE SONT DES NUISIBLES DESTRUCTEURS DE L’ÉCONOMIE DU PAYS, DE SON INDÉPENDANCE ET DU BIEN-VIVRE DE LA COLLECTIVITÉ.

 

 

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10 mai 2022 2 10 /05 /mai /2022 21:24
L'AGGLOMÉRATION "LES SABLES D'OLONNE" : UNE GESTION RASSURANTE QUI DEVRAIT PERMETTRE D'ASSUMER LES INVESTISSEMENTS PRÉVUS POUR CETTE MANDATURE

 

 

L’EXÉCUTION DU BUDGET 2021 : LA SÉRÉNITÉ DANS LA GESTION AVEC UNE CAPACITÉ DE DÉSENDETTEMENT EN NETTE PROGRESSION ET UNE BONNE CAPACITÉ D'AUTO-FINANCEMENT

Le dernier Conseil Communautaire de l’Agglomération "Les Sables d’Olonne" était porteur de nouvelles plutôt rassurantes pour la Collectivité Locale malgré l’annonce concernant la défaillance de l’État sur le dossier Hydrogène.

Voir : https://www.olonnes.com/2022/05/l-hydrogene.une-bombe-a-retardement-aux-sables-d-olonne.html

 

La partie importante de ce Conseil était donc constituée de la pratique de l’exercice annuel de l’approbation des comptes de l’année N-1 soit 2021.

En résumé, si l’on s’en tient à l’essentiel que constitue le Budget Principal, les dépenses de fonctionnement sont bien maîtrisées avec un taux d’exécution de 98 % et des charges de personnel stabilisées.

Pour les recettes de fonctionnement, le taux de réalisation est aussi conforme aux prévisions avec 101 % de réalisation malgré les chamboulements de cette année 2021.

Pour les investissements réalisés, en incluant les travaux en cours, l’Agglomération dépasse la barre des 20 millions d’euros contre14 millions d’euros en 2020. Mais le taux de réalisation du budget par rapport au prévisionnel reste bas (65 %). Ceci corresponde à la montée en puissance de l’Agglomération : la mise en place de la nouvelle structure, le lancement des premiers projets...

Les recettes d’investissement s’élèvent à 13,5 millions d’euros pour l’année 2021 à comparer aux 9,3 millions d ‘euros en 2020.

Le niveau d’endettement de 20 millions d’euros de l’Agglomération est très raisonnable. Il est surtout intéressant de constater que la capacité de désendettement qui était en 2018 de 3 ans est ramené à 1,9 an en 2021.

Autre remarque positive :  l’Agglomération ne tombe pas dans le travers des collectivités qui font voter « des budgets » trompe l’œil et le citoyen en augmentant les prévisions de charges et en diminuant les recettes.

Nous verrons; en fin 2022; comment l’Agglomération a pu prendre le virage de sa montée en puissance avec la mise en œuvre des projets d’investissements structurants, les nouvelles compétences et une capacité d’auto-financement qui permet, sans trop alourdir l’endettement, d’engager les investissements importants nécessaires.

 

Il faut pouvoir construire une Agglomération performante où il fait bon vivre avec les équilibres annoncés en investissements nécessaires voire urgent, une Agglomération en évolution positive qui arrive à conjuguer un passé qui fait son charme, un présent agréable à vivre et une adaptation maîtrisée pour l'avenir.

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10 juin 2014 2 10 /06 /juin /2014 10:43
L'EMPLOI en VENDEE : pas l'embellie ni l'inversion de la courbe du chômage mais un mieux noté fin 2013

En VENDEE, la croisance du chômage se ralentit, ce n'est pas encore l'embellie mais un mieux qu'il faut noter...c'est "moins pire"

 

En avril 2014 le nombre de demandeurs d'emploi basé sur les dernières données (4 ième trimestre 2013) a cru mais le rythme de progression se ralentit.

Pour la VENDEE, le taux de chômage au 4 ième trimestre 2013 est redescendu à 8,3 % (8,5 %  au 3 ième trimestre).

Pour le secteur littoral (Sables d'Olonne) ce territoire reste le mauvaus élève de la VENDEE avec un taux de 11,1% (le taux national, selon les nouvelles méthodes de calcul, est de 9.8%).

 

 

 

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