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26 juillet 2023 3 26 /07 /juillet /2023 19:59
LA CONSTITUTION ELLE S'IMPOSE POUR SAUVEGARDER LES LIBERTÉS

LA CONSTITUTION ELLE S'IMPOSE POUR SAUVEGARDER LES LIBERTÉS

 

 

IL FAUDRA SANCTIONNER LES FAITS D’AUTORITARISME DU CHEF DE L’ÉTAT

 

L'autorité étatique est l'autorité qui émane de l'État. Ce dernier dispose d'une personnalité juridique et d'une autorité légale, s'appuyant sur le droit.

En l’occurrence, le droit c’est celui qui est édicté par la Constitution et ce d’autant plus que celle-ci a été approuvée par un vote du peuple français .

L’autoritarisme

L'autoritarisme consiste en une prééminence, une hypertrophie de l'autorité, érigée en valeur suprême. Un régime politique autoritaire est un régime politique qui par divers moyens (propagande, encadrement de la population, répression) cherche la soumission et l'obéissance de la société.

Nous le répétons : l‘autorité cela se mérite sinon c’est de l’autoritarisme. Car l’autorité publique est au service du bien commun et ses déviances conduisent à tous les abus de pouvoirs.

 

CERTAINES MANIFESTATIONS DE L’AUTORITÉ SONT DES EXPRESSIONS NON DE L’AUTORITÉ DE L’ÉTAT MAIS CELLES DE L’AUTORITARISME DU CHEF DE L’ÉTAT

Ce que nous avons vécu concernant le pseudo remaniement ministériel sont bien l’expression indubitable de l’autoritarisme

Nous l’avons dit et répété notre Constitution a créé un exécutif bicéphale : Le Président de la République et le Premier ministre avec son gouvernement

La compétence du Gouvernement est ainsi définie sans ambigüité par la Constitution.

 

ARTICLE 20.

Le Gouvernement détermine et conduit la politique de la nation.

Il dispose de l'administration et de la force armée.

Il est responsable devant le Parlement dans les conditions et suivant les procédures prévues aux articles 49 et 50.

ARTICLE 21.

Le Premier ministre dirige l'action du Gouvernement. Il est responsable de la défense nationale. Il assure l'exécution des lois. Sous réserve des dispositions de l'article 13, il exerce le pouvoir réglementaire et nomme aux emplois civils et militaires.

C’est le gouvernement qui conduit la politique de la nation et c’est le Premier ministre qui dirige l’action du Gouvernement. C’est le Premier Ministre qui propose les Ministres au Président de la République qui les nomme.

En annonçant le programme de gouvernement le Président de la République fait œuvre d’autoritarisme

En décidant le remaniement ministériel que nous venons de vivre le Président de la République fait preuve d’autoritarisme

« Le recours fréquent à des remaniements ministériels par le président Macron jette une lumière crue sur la dérive présidentialiste du pouvoir et la dévaluation des responsabilités ministérielles. »

En parlant de « son » gouvernement le Chef de l’État fait preuve d’autoritarisme et dévoie la lettre et l’esprit de la Constitution.

Le résultat est la dévalorisation de la fonction ministérielle et la consécration d’une volonté hégémonique du Chef de l’État. Affaiblir le pouvoir du Gouvernent et du Premier Ministre au profit du Chef de l’État c’est dévoyer la Constitution.

 

Si le Chef de l’État s’adressant au peuple et aux ministres fait une leçon sur l’EXEMPLARITÉ il se doit lui-même d’être exemplaire...ce qui n’est pas le cas dans ce que nous venons de vivre.

 

En dépouillant le Gouvernement de ses prérogatives, le Chef de l’État fait preuve d’autoritarisme.

 

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23 juillet 2023 7 23 /07 /juillet /2023 18:23
DERRIÈRE CE DRAPEAU À BRUXELLES COMBIEN D'AGENTS DES LOBBYS GRENOUILLENT ?

DERRIÈRE CE DRAPEAU À BRUXELLES COMBIEN D'AGENTS DES LOBBYS GRENOUILLENT ?

 

 

 

 

 

UN LOBBY, CE N’EST PAS UNE LUBIE MAIS UN RÉALITÉ QUI EST CAPABLE DE FAIRE BEAUCOUP DE DÉGÂTS

 

Nous allons illustrer ce danger par 3 exemples qui nous touchent tous...mais si vous saviez leur puissance et leur multitude par exemple,  en matière économique, droits de l’homme, sécurité, agriculture... à Bruxelles !

 

LGTB

C’est l’art des minorités d’en imposer à la majorité trop tolérante et trop silencieuse.

Le mouvement lesbien, gay, bisexuel, transgenre est le modèle type de structure qui prétend représenter des minorités souvent victimes de discriminations voire pires mais qui exploite toutes occasions pour que les minorités imposent leurs lois à la majorité. Pensons à la destruction de la notion de famille, à celle d’autorité...

 

FNSEA : FÉDÉRATION NATIONALE DES SYNDICATS D’EXPLOITANTS AGRICOLES

Si l’on veut expliciter ce qu’est réellement ce pseudo Syndicat, nous donnerons l’exemple des exploits de son ancien Président Xavier BEULIN, décédé brutalement en 2017. Il fut au cœur du groupe d’Avril (Crédit Agricole, Natixis, Unigrains et une nuée d’organismes professionnels agricoles) et Président de la FNSEA

Xavier Beulin est l’indestructible, le faiseur de ministres, lié au grand patronat. Il a défendu la politique de l’industrialisation de l’agriculture française. Il a lancé cette révolution qui a tué des dizaines de milliers d’exploitations agricoles et en même temps l’environnement. Il connaissait les projets de loi mieux que les ministres de l’Agriculture et avant même que ceux-ci en aient pris connaissance !

 

ÉCOLOGISTES

C’est le mouvement à qui nous devons le projet de fin du nucléaire qui a massacré l’industrie française et la recherche en trompant ceux qui les ont crus. C’est un mouvement soutenu par des lobbys américains et allemands à qui nous devons aujourd’hui la perte de notre indépendance en matière d’énergie,  la situation de pénurie en eau potable, des pertes énormes en matière de recherche et de chercheur...

Ce mouvement va continuer son œuvre destructrice de la France en noircissant le tableau climatique et en tentant d’imposer des solutions irréalistes de remplacement qui ruinent l’économie et le tout dans la plus pure impunité et mauvaise foi. Preuve de son incompétence : Il a toujours montré son incapacité à s’organiser. Preuves des dégâts : nous les vivons tous les jours !

 

Il faudra bien un jour réagir et s'attaquer à ce fléau nommé LOBBY ! Cela se nomme moraliser la vie économique, sociale, politique ...

 

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22 juillet 2023 6 22 /07 /juillet /2023 15:45
LE PRÉSIDENT EMMANUEL MACRON

LE PRÉSIDENT EMMANUEL MACRON

 

 

 

 

 

LE TOUR D’HORIZON DU PRÉSIDENT D'EMMANUEL MACRON

 

L’exercice de communication du Président MACRON devant les Ministres ce vendredi 21 juillet était très difficile voire suicidaire. Il a refusé de faire campagne en 2022, il a refusé de faire le bilan de son premier quinquennat et il essaie apostériori maintenant de combler ce vide car il subit les conséquences du fait que la France ne sait pas où elle va. Nous reprenons l’analyse de ces 25 minutes d’intervention déroutante : aveux,  directives et auto-satisfaction...

 

ALLUSION AU DOSSIER DE L’EX-MINISTRE MARLÈNE SCHIAPPA ? EXEMPLARITÉ FONDS MARIANNE

De l’intervention du Président MACRON en préliminaire du Conseil des Ministres de ce 21 juillet 2023 nous retenons, entre autres termes abordés, le mot fort sur le plan éthique, le terme « EXEMPLARITÉ » qui, dans la bouche du Président MACRON, ne manque pas de sel.

Certes, morale et politique ne font pas très bon ménage et revenant sur ce thème le Président a pris soin de dire à l’adresse de ses ministres que ce sont les incartades des membres du Gouvernement qui sont une cause du fait que « les gens ont perdu la confiance » en leurs élus.

Nous ne nous étendrons pas sur le dossier du confident du Président son Secrétaire Général de l’ÉLYSÉE Alexis KOHLER inculpé depuis 2022 par le Parquet National Financier PNF au motif de prise illégale d’intérêts. Nous ne reviendrons pas non plus sur le dossier BENALLA !

Le PNF fait plus de diligences pour instruire ses affaires quand il s’agit d’ennemis politiques du Président.

 

Les ministres nouveaux et les autres plus anciens ont dû être étonnés de cette leçon de morale donnée par le Président qui a protégé Marlène SCHIAPPA y compris après l’enquête du Sénat qui a au moins eu l’intérêt de faire apparaitre presque toute a vérité.

On peut imaginer tout le mal que Marlène SCHIAPPA a pu faire quand nous, vous, tout le monde avons découvert qu’elle avait réussi à « escroquer » 2,5 millions d’euros d’argent public pris sur un reliquat de budget de l’année précédente (2020) .

Madame Marlène SCHIAPPA n’a pas détourné des fonds publics à son profit personnel  mais elle a distribué cette somme de manière totalement obscure et douteuse : deux enquêtes sont encore en cours une pénale devant le PNF et l’autre par l’Inspection Générale de l’Administration.

Nous notons que le PNF fait plus de diligences pour instruire ses affaires quand il s’agit d’ennemis politiques du Président. Rappelons que le PNF est un bout de juridiction d'exception où les magistrats qui officient ont un statut privilégié.

Il faut quand même ajouter que la distribution cette manne n’était pas innocente elle était faite pour aider des initiatives en général du monde associatif à proposer des projets d’actions de lutte contre la discrimination, le racisme ; le communautarisme...suite au meurtre atroce de l’enseignant Samuel PATY

Il est reproché à Madame Marlène SCHIAPPA d’avoir utilisé ses fonds pour financer un formidable outil de communication à son profit.

 

On comprend ainsi la gêne du Président à parler à ses ministres et à la France de son exigence d’Exemplarité  : efficacité, continuité, probité...

 

LE DÉLABREMENT DES FINANCES PUBLIQUES ?

Nous avons aussi retenu de ce propos présidentiel cette phrase que le Président a d’ailleurs eu du mal à prononcer et qui peut cacher une très mauvaise surprise « Nous aurons, dès la rentrée, à préparer en quelque sorte le pays pour un cadre exigeant et l’ordre en matière de finances publiques ».

Le "en quelque sorte" a eu du mal à sortir de la bouche présidentielle.

Les finances publiques françaises sont donc en désordre. Nous en prenons acte et posons la question : qu’avez-vous fait, Monsieur le Président, pour redresser cette situation que vous jugez maintenant critique « quoiqu’il en coûte ! »

Le Président MACRON semble souffrir d’amnésie et oublier son long passage au Ministère des Finances dont la période2014/2016 ? Qu’a-t-il fait pour sauvegarder les finances publiques ? Puis plus récemment comme Président il a fait flamber la dette publique et les déficits publics.

Décidément nous ne comprenons rien à la politique vue par le Président MACRON et le fameux« faites ce que je dis et ne faites pas ce que je fais ».

Le Président était bien au courant en aout 2022 des difficultés financières de la France quand il déclarait la fin de l’abondance :

« Nous vivons la fin de ce qui pouvait apparaître comme une abondance, celles des liquidités sans coût, (…) la fin d’abondance de produits, de technologies qui nous semblaient perpétuellement disponibles, (…) la rupture des chaînes de valeur, (….) la fin de l’abondance de terre ou de matière et celle de l’eau »

 

Rappel REPLAY pour ceux et celles qui voudraient entendre ce monologue présidentiel de 25 minutes sur le quinquennat N°1 du Président et l’annonce un peu clandestine qu’il fixe un CAP cette fois après plus d’un an en fonction pour ce nouveau quinquennat.

 

https://www.youtube.com/watch?v=FaxoLme-1lM

 

 

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20 juillet 2023 4 20 /07 /juillet /2023 11:07
L'ÉLYSÉE, UN CHÂTEAU DE PLUS EN PLUS FORT !

L'ÉLYSÉE, UN CHÂTEAU DE PLUS EN PLUS FORT !

 

 

 

 

 

REMANIEMENT NON ÉVÉNEMENT

 

Nous apprenions que le Gouvernement devait être remanié et le gouvernement 2 d’Élisabeth BORNE présenté ce jour.

C’est un non-événement et la presse et les réseaux sociaux en font des gorges chaudes.

Donc, nous avons au moins  la confirmation officielle du maintien de Madame Élisabeth BORNE dans sa fonction de Première Ministre. Si c’est la Première Ministre qui se rend à l’Élysée pour faire ses propositions de remaniement, c’est qu’elle est encore Première Ministre !

Comment cela se passera-t-il et quand : ce devait être cet après-midi et ce fut cet après-midi

En effet, notons d’abord que ce n'est pas à un proche du Président d'annoncer, comme cela fut fait lundi dernier, le « renouvellement » de Madame Élisabeth BORNE dans ses fonctions de Première Ministre. Le Président de la République ne peut licencier ou se débarrasser de son Premier Ministre si celui-ci refuse de lui offrir sa démission. Le couple de l'exécutif Président et Première Ministre est à la dérive et ce n'est pas bon pour gouverner la FRANCE.

À ce que nous savons, Madame Élisabeth BORNE n'a pas fait la démarche de présentation de sa démission au Président de la République et il n'y a eu aucune parution dans le Journal Officiel de la République sur sa démission ! Donc elle est toujours Première Ministre...faute de mieux ?

 

REPRENONS NOTRE BIBLE CITOYENNE : LA CONSTITUTION DE 1958

Article 8 de la Constitution de 1958...TOUJOURS EN VIGUEUR

Le Président de la République nomme le Premier ministre. Il met fin à ses fonctions sur la présentation par celui-ci de la démission du Gouvernement.

Sur la proposition du Premier ministre, il nomme les autres membres du Gouvernement et met fin à leurs fonctions.

 

PRIMO, il est étrange et intéressant qu’une fois nommé le Premier Ministre est quasiment inamovible sauf en cas prévu par l’article 50 de la Constitution : lorsque l'Assemblée nationale adopte une motion de censure ou lorsqu'elle désapprouve le programme ou une déclaration de politique générale du Gouvernement, le Premier ministre doit remettre au Président de la République la démission du Gouvernement.

Donc le Premier Ministre constitutionnellement peut être une gêne pour un Président qui veut décider de tout tout seul. Cette inamovibilité est une force qui semble importuner le Président MACRON.

 

SECUNDO, IL APPARTIENT À LA PREMIÈRE MINISTRE DE CHOISIR SES MINISTRES

Incontestablement : c'est à la Première Ministre qu'il revient de choisir ses Ministres...voire d'en présenter de nouveaux que le Président de la République se doit simplement de « nommer ».

Le Premier Ministre s’il a une équipe solide pourra agir en contre-pouvoir au sein de l'exécutif et empêche le Président de faire n'importe quoi.

Par contre, le Président de la République peut refuser de « nommer » une personne présentée par le Premier Ministre : hypothèse d’école !

 

UN REMANIEMENT INSIGNIFIANT

Pour passer à la pratique, nous avons tenté d’examiner donc avec attention comment s’est effectué ce "remaniement" ministériel et si, au moins la lettre de la Constitution s’est imposée au  Président qui est bien paradoxalement parfois le garant de la parfaite exécution des prescriptions ce celle-ci.

Comme ce remaniement s’est résumé à peu de choses : un jeune très proche  très proche du Président monte et ainsi le Président montre qu’il est le chef ; la protégés Mylène SCHIAPPA disparaît après le scandale FONDS MARIANNE...le Ministre de l’Éducation Pap Ndiaye disparait...

Le reste ne mérite pas attention donc ce 20 juillet 2023, il ne s’est rien passé et les citoyens demandent pourquoi on parle d’un nouveau gouvernement ?

À quoi a pu servir un pseudo suspense ? On ne peut tirer des conclusions d’un non-événement !

 

EN MARCHE VERS UN RÉGIME TOUJOURS PLUS PRÉSIDENTIEL AVEC UN GOUVERNEMENT AFFAIBLI

Par contre, ce que nous vivons n'est pas du tout dans l'esprit de la Constitution qui a fait du Premier Ministre et de son équipe un réel contre-pouvoir au sein de l’exécutif avec ce pouvoir de choisir ses Ministres qui s’estompe. Tout se décidera encore plus à l’Élysée...s’il y a des décisions à prendre...

En fin de compte, un remaniement à minima qui signifie qu’on garde les mêmes pour la même politique ou pour une autre selon l’humeur du Président. Le rôle et la fonction de la Première Ministre en sortent encore plus affaiblis...en marche, on continue vers un Régime encore plus Présidentiel.

Mais dans ce monde de la politique aucun pronostic n'est fiable...une étincelle...c'est les gilets jaunes, une réformette des retraites...c'est une France à l'arrêt dans la rue...une décision de ras le bol ou d'instinct de sauvegarde du Parlement et c'est la dissolution de la Chambre des députés et de nouvelles élections...Les surprises seront pour demain.

 

 

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19 juillet 2023 3 19 /07 /juillet /2023 20:35
LE PRÉSIDENT MACRON UN HOMME SEUL À LA TÊTE DE L'EXÉCUTIF, UN GOUVERNEMENT DÉVALORISÉ

LE PRÉSIDENT MACRON UN HOMME SEUL À LA TÊTE DE L'EXÉCUTIF, UN GOUVERNEMENT DÉVALORISÉ

 

 

 

LE RÔLE DU GOUVERNEMENT EST RÉDUIT DE MANIÈRE DRASTIQUE. CE N'EST PAS CE QUE PRÉVOIT LA CONSTITUTION.

 

Chaque jour amène des informations nouvelles sur la façon dont le Président de la République maltraite la Constitution dont il est le gardien chargé de veiller à son respect.

Ces informations doivent inquiéter très sérieusement les citoyens même si la tendance est à penser vacances et aussi vacance du pouvoir au niveau de l’exécutif.

 

LA France ET SON EXÉCUTIF BICÉPHALE

Tout pays démocratique structuré est administré par 3 pouvoirs : c’est l’héritage de la pensée attribuée à Montaigne auteur de « l’Esprit des lois » (1748).

Ces 3 pouvoirs sont donc : le pouvoir législatif, le pouvoir exécutif et le pouvoir judiciaire.

Ces pouvoirs doivent être séparés et en théorie indépendants...on pourrait dire, pour être plus pratique, inter-dépendants. Il est évident que s’il y a 3 pouvoirs...le jeu va consister pour chaque pouvoir de faire des tentatives de rogner le pouvoir des deux autres.

Le caractère bicéphale de l’exécutif inscrit dans la Constitution de 1958 est un peu une caractéristique de la France démocratique sortie de l’ornière de la guerre d’Algérie et d’une quatrième République affaiblie qui se jette dans les bras du Général de Gaulle.

La Constitution de 1958 a donc été rédigé comme un costume taillé pour le Général de Gaulle dont on dit qu’il en est le principal rédacteur. Le Général cependant était entouré pour cette rédaction d’hommes comme l’éminent Michel DEBRÉ qui a dû ferrailler avec son maître pour en faire un texte équilibré.

Malgré les multiples tentatives de réformes, elle devient celle qui, sous régime républicain, aura résisté le plus longtemps aux foucades des français.

Cette constitution de 1958 a doté la France d’un exécutif bicéphale : le Président de la République et le Gouvernement. L’esprit de la Constitution a cependant basculé avec l’élection du Président de la République au suffrage universel volant la place prééminente au législatif pour donner plus de poids à l’exécutif représenté par le Président de la République. Celui-ci a pris, avec le temps,  l'habitude de rogner le pouvoir octroyé au Gouvernement...Est-on sous un régime Présidentiel que la Constitution de 1958 ne prévoit pas ?

 

2023 :  LA France NE SAIT PLUS SOUS QUEL RÉGIME ELLE VIT

Nous vous livrons ci-dessous les deux textes clés qui régissent le fonctionnement de l’exécutif bicéphale.

 

LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

 

Article 5 de la Constitution

Le Président de la République veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l'État.

Il est le garant de l'indépendance nationale, de l'intégrité du territoire et du respect des traités.

 

LE GOUVERNEMENT

Article 20 de la Constitution

Le Gouvernement détermine et conduit la politique de la nation.

Il dispose de l'administration et de la force armée.

Il est responsable devant le Parlement dans les conditions et suivant les procédures prévues aux articles 49 et 50.

Article 21 de la Constitution

Le Premier ministre dirige l'action du Gouvernement. Il est responsable de la défense nationale. Il assure l'exécution des lois. Sous réserve des dispositions de l'article 13, il exerce le pouvoir réglementaire et nomme aux emplois civils et militaires.

Il peut déléguer certains de ses pouvoirs aux ministres.

Il supplée, le cas échéant, le Président de la République dans la présidence des conseils et comités prévus à l'article 15.

Il peut, à titre exceptionnel, le suppléer pour la présidence d'un conseil des ministres en vertu d'une délégation expresse et pour un ordre du jour déterminé.

 

 

EMMANUEL MACRON A VIDÉ LE POUVOIR DU GOUVERNEMENT. Il RÈGNE SEUL.

Nous laissons, à partir des textes ci-dessus, à chacun de vous, le pouvoir de juger avec la tragi-comédie que nous vivons depuis le début de ce second quinquennat d’Emmanuel MACRON, ce que représente désormais le Gouvernement.

Si le gouvernement ne sert à rien cela signifie que la Constitution est violée et que le Chef de l’État concentre sur sa personne tous les pouvoirs de l’exécutif de la République.

Il n’est plus l’arbitre mais le chef...il dit d’ailleurs « mon » gouvernement et se comporte effectivement comme Président et Premier Ministre.

Mesurons donc le danger de cette situation et ce que cela peut présenter pour l’avenir en cas de nouvelle crise par exemple !

Veut-on que la France passe sous le régime Présidentiel ? Dans ce cas, il faudra interroger le peuple souverain pour modifier la Constitution et il n'est pas sûr du tout que le peuple souverain accepte cette hypothèse. Alors rester dans une situation ambigue ?

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17 juillet 2023 1 17 /07 /juillet /2023 18:58
14 JUILLET 2023, PAS DE FEU D'ARTIFICE PRÉSIDENTIEL

14 JUILLET 2023, PAS DE FEU D'ARTIFICE PRÉSIDENTIEL

 

 

 

 

LES DISGRÂCES DES 100 JOURS

 

Les « Cent-Jours » sont à l'origine la période de l'histoire de France comprise entre le retour en France de l'empereur Napoléon Iᵉʳ, le 1ᵉʳ mars 1815, et la dissolution de la Commission Napoléon II, chargée du pouvoir exécutif après la seconde abdication de Napoléon Iᵉʳ, le 7 juillet 1815.

Les 100 jours sont donc placés plutôt sous des auspices catastrophiques ou au moins peu glorieuses.

Donc fêter la fin d’une période néfaste comme celle de la crise interminable 2023 de la réforme des retraites en annonçant l’entrée dans une période de Cent jours est du genre provocateur.

Les Cent Jours version Emmanuel MACRON débutent avec sa déclaration du 17 avril 2023 sur l’annonce de l’«apaisement » après les éclats massifs de la colère populaire sur la réforme des retraites et ils auraient dû s’achever le 14 juillet 2023 sur un bilan de triomphe et du changement de politique à la tête de l’֤État pour la renaissance d’une France qu’il avait promis de redresser.

Mais pourquoi donc le Président de la République a-t-il choisi ce titre des « 100 jours » pour illustrer son action, ses échecs et son inaction?

Il emprunte à l’histoire des faits qui ne sont pas glorieux, est-ce pour exorciser le sort ou pour provoquer ?

Nous attendions donc ce 14 juillet avec impatience et un peu d’inquiétude.

 

LES 100 JOURS D’EMMANUEL MACRON : VACANCES DU POUVOIR ET VACANCES PRÉSIDENTIELLES ET NATIONALES

Après la révolte des banlieues qui était le contraire de l’apaisement nous attendions donc ce bilan des 100 jours qui devait se terminer par un feu d’artifice présidentiel

Au lieu d’une fête, ce 14 juillet 2023, nous eûmes droit certes effectivement au feu d’artifice rituel de la Tour Eiffel mais et aussi nous eûmes le Waterloo du bilan des 100 jours sous forme de litanie récitée par le porte-parole du gouvernement Olivier VÉRAN où tout se mélange ; où nous sommes dans ce compte rendu du Conseil es Ministres  perdus dans des détails sans importance et des promesses qui n’engagent que ceux qui les entendent.

Vous pouvez en juger avec le texte du compte rendu du Conseil Des Ministres par Olivier VÉRAN :

https://www.gouvernement.fr/conseil-des-ministres/compte-rendu-du-conseil-des-ministres-du-13-07-2023#d7f9154e-04b5-45b7-b4c2-029cc0a1d350-0

En réalité, des 100 jours d’Emmanuel MACRON ne resteront dans les mémoires que les images des jours d’émeutes, de vols, de saccages : la chienlit qui s’est exprimée et a pu casser du policier et du gendarme symboles de l’ordre public et les bâtiments publics détruits symboles de la République bafouée ...sans oublier la tentative de meurtre du Maire de La Haÿ les Roses et de sa famille.

Du bilan attendu, de ces 100 jours nous n’avons pu ouïr que le silence présidentiel.

« En marche » sombre dans l’immobilisme.

Les Cent Jours s’achèvent dans le vacarme solitaire des préparatifs des vacances présidentielles.

L’exécutif est totalement défaillant : le Chef de l’État va voyager, la première Ministre est tellement en intérim que son Chef de Cabinet démissionnaire depuis plusieurs semaines n’est même pas remplacé, les Ministres et les membres de leurs cabinets sont en recherches de nouveaux postes...

La France n’est plus gouvernée et peut donc partir tranquille en vacances. C’est bien triste quand même ! du jamais vu ?

Les Cent jours de l'empereur NAPOLÉON et d'Emmanuel MACRON sont des moments de l'histoire de France que nous essayerons de vite oublier.

 

Dernière minute : Nous apprenons qu' Élisabeth BORNE reste encore Première Ministre "confortée"...elle va proposer au Président des ajustements...sur la ligne politique ? sur les composantes de son gouvernement? ...Est-ce que cela fait sérieux ?...Allons vite "en marche" tous vers l'immobilisme !

En fin de compte, on pourrait se passer de Gouvernement comme certains Pays ont pu le faire. Le Ministre du budget aurait enfin trouver un moyen de faire baisser la dépense publique. Quelle économie !

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14 juillet 2023 5 14 /07 /juillet /2023 15:51
NON AU POUVOIR DESTRUCTEUR DE LA RUE, OUI À LA RESTAURATION DE L'AUTORITÉ DE L'ÉTAT

NON AU POUVOIR DESTRUCTEUR DE LA RUE, OUI À LA RESTAURATION DE L'AUTORITÉ DE L'ÉTAT

 

 

 

 

LES DÉFAILLANCES DE L’ÉTAT ONT MINÉ SON AUTORITÉ QU’IL FAUT IMPÉRATIVEMENT ET TRÈS RAPIDEMENT RESTAURER

Suite de

https://www.olonnes.com/2023/07/l-autorite-de-l-etat-est-remise-en-question-c-est-la-decadence-de-l-etat-et-du-pays.suite.html

 

Aujourd’hui, c’est l’Autorité de l’État qu’un certain laxisme a totalement remis en cause parce que ses représentants ont été défaillants et que ces défaillances nous les vivons tous les jours quand on entend le fameux et honnis « tous élus, tous pourris » dont on peut mesurer tous les graves méfaits qu’il engendre : l’incivilité règne en maître.

Tout élu est pourtant un représentant de l’État dépositaire de l’autorité que celui-ci est censé détenir.

Pourtant, l’élu n’est plus respecté...il est même plus attaqué que respecté.

Ainsi au cours de l'année 2022, 2 265 plaintes et signalements pour des actes de violence à l'encontre d'élus ont été recensés : un record !

En réalité, il apparait clairement que c’est toute la chaîne de l’autorité qui est devenue défaillante : place à la violence puisque le violent sait qu’il sera impuni même s’il passe en jugement.

La peine à laquelle il sera peut-être condamnée, même s’il est récidiviste, ne sera pas exécutée puisqu’il n’y a pas de places dans les prisons ! Parce que l’État défaillant ne cesse depuis 2017 de proclamer et promettre 15 000 places nouvelles dans les prisons et n’en met aucune en chantier. Le délit de mensonge affaiblit aussi l’Autorité de l’État.

Le représentant de cette Autorité dit Chef d’État actuellement Emmanuel MACRON participe à ce comportement destructeur de l’Autorité dont il est pourtant le symbole vivant : ses écarts de langage, son absentéisme aux moments où la patrie qu’il représente est en danger perpétue cette décadence que ses prédécesseurs avaient inauguré : Gilets Jaunes, banlieues en feu, grèves générales...

L’AUTORITÉ DE L'ÉTAT était silencieuse et défaillante laissant la parole et le champ libre aux mouvements insurrectionnels et incontrôlés de la rue et donc à l'éclipse de l'Autorité de l'État.

 

RESTAURER L'AUTORITÉ DE L'ÉTAT ET LA NOTION MÊME D'AUTORITÉ

La Justice, bras exécuteur de l’Autorité de l’État, est une grande malade qui n’est pas soignée et a perdu sa crédibilité.

Les policiers qui ont arrêté non sans risques un délinquant le retrouveront le lendemain de son arrestation ou de son jugement dans la rue et essuieront le bras d’honneur que le voyou leur fera !

Des membres des forces de l’ordre ainsi désabusés, c’est l’autorité de l’État qui recule, qui s’effrite, qui sombre.

Autre cause de cette situation alarmante : la notion même d’autorité qui est fragilisée dans le monde de l’éducation, au sein de la famille...et là aussi le chef de l’État a sa lourde part de responsabilité...après déjà 6 ans à la tête de l’État. A-t-il construit ou reconstruit l'Autorité lui qui avait promis à la France de lui faire "retrouver notre esprit de conquête pour bâtir une France nouvelle" ...avec ou sans Autorité de l'État ? Dans le désordre comment peut-on reconstruire une France Nouvelle ?

L’Autorité de l’État s’use si l’on ne s’en sert pas ...or, aujourd’hui l’Autorité de l’État est bafouée impunément et souvent inexistante et les auteurs de ce massacre de l’Autorité ne sont plus sanctionnés.

Par contre, c’est toute la société française qui est sanctionnée par un État défaillant ! et particulièrement par l’insécurité et la violence qui sévissent sur tout le territoire.

À quand la saine réaction du citoyen français ? À quand l’expression de la révolte de la majorité silencieuse ?

Répétons que le citoyen passif est lui aussi coupable par son laxisme, il est même complice de cette situation de laxisme général qui conduit à la décadence de l’Autorité de l’État donc de l’État français.

Nous sommes le 14 juillet, commémoration de l'Union Nationale et donc jour sacré Fête Nationale, les français ont besoin de croire au miracle du sursaut populaire qui sera celui qui porte un nom fort et significatif qui marqua la fin des épisodes d'aventures sanglantes de  la révolution : la RESTAURATION !

Pensons à participer à la restauration de l'Autorité de l'État et à la notion même d'Autorité sans laquelle il n'y plus de bases solides pour une vie en société, pour la paix, pour la solidarité et le progrès.

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13 juillet 2023 4 13 /07 /juillet /2023 16:08
LA JUSTICE, PILIER DE L'AUTORITÉ DE L'ÉTAT

LA JUSTICE, PILIER DE L'AUTORITÉ DE L'ÉTAT

 

 

 

 

QUE S’EST-IL PASSÉ POUR QUE L’ÉTAT N’AIT PLUS D’AUTORITÉ ?

Suite de

https://www.olonnes.com/2023/07/l-autorite-de-l-etat-est-remise-en-question-c-est-la-decadence-de-l-etat-et-du-pays.html

FÊTE NATIONALE

À LA VEILLE D'UN MOMENT DE JOIE QUE CONSTITUE LE 14 JUILLET, FÊTE NATIONALE, IL EST PEUT-ÊTRE BON DE RÉFLÉCHIR EN COMMUN SUR LE CAPITAL QUE NOUS DEVONS À NOS ANCÊTRES : UN ÉTAT PROTECTEUR DE TOUS LES CITOYENS ET DÉTENTEUR D'UNE AUTORITÉ AU SERVICE DES LIBERTÉS CHÈREMENT CONQUISES

 

Pour nos contemporains, il est aisé de remonter en mai 1968 où la contestation a affaibli la notion même d’autorité sous toutes ses formes et particulièrement celle de l’autorité de l’État qui en est ressortie affaiblie de cette épreuve et le demeure de plus en plus ...

L’Autorité n’est pas innée ; elle se mérite, elle s’entretient et  sa forme évolue. Pour se  maintenir et s’imposer elle doit être acceptée, elle doit être justifiée, limitée et encadrée.

Mais en France, dans l’Europe démocratique, l’autorité de l’État a été ébranlée par le laxisme de ceux qui devaient l’exercer. Nous allons tous subir les néfastes conséquences de cette situation.

L’individualisme exacerbé des théoriciens de 1968, de nombre de philosophes, de théoriciens de l’Éducation, ne doit pas occulter que nous vivons en société et que la liberté absolue n’est pas viable.

"Il est interdit d’interdire" est une simple boutade volée à un humoriste Jean Yanne et dangereuse. Avec cette formule, le meurtre, l'inceste, le harcèlement, les violences, les injures et les tortures feront la loi des relations dites humaines.

Mai 1968 n’explique pas tout de la perte de son autorité par l'État. En effet, cette période nous a rappelé que l’autorité n’est pas une chose naturelle...mais qu’elle se discute et que son exercice doit être encadré pour s’imposer avec Justice.

À l’inverse, l'autre formule « Ni Dieu, ni Maitre » a des limites? C'est la devise des anarchistes ! Et nous savons où mène l’anarchie.

Après mai 1968, il fallait peut-être et il faut encore malheureusement pour certains tuer toutes les représentations de l’Autorité et ainsi avec ce concept ceux qui prônent le laxisme détruisent le fondement des sociétés. N’oublions jamais l’article 4 de la Déclaration des Droits de l’homme de 1789 !

La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.

Autrui, c’est nous tous et nous tous qui avons tout à craindre d’un État qui n’a plus d’autorité pour interdire et protéger ses citoyens : un État enfermé dans des palais nommés Élysée, Matignon, Bercy...qui se soucie peu des citoyens à la peine ne peut et ne veut plus mesurer combien l’autorité incontestable de l’État est source défense des libertés individuelles et collectives.

Ce qu’il y a de sûr, aujourd’hui la liberté réclamée pour piller, voler, incendier, menacer...condamne la vie en société. Elle va à l’inverse de ce que ses défendeurs prônent : plus de justice. La réalité, c’est que cette liberté aveugle et sans bornes tue le faible, elle appauvrit le pauvre, elle affame celui qui a faim...

 

 

LES DÉFAILLANCES CONSTATÉES DE L’AUTORITÉ DE L’ÉTAT ! IL N’Y A PLUS D’ÉTAT ?

Par rapport à la philosophie développée ci-dessus concrètement en France il y a bien, en théorie, encore un État puisqu’il y a un « chef d’État » mais chef d’un État sans autorité.

La France est un État qui a perdu son autorité.

L’État français est donc maintenant qualifié de défaillant puisqu’il n’y a aucune autorité centrale respectée en mesure d'assurer à titre exclusif l'exercice de la violence légitime au sein des frontières dudit pays et lorsqu'il n'assure plus le respect des droits de la personne et la satisfaction des besoins fondamentaux des populations.

C’est bien la situation de la France de 2023 que nous dénonçons :

Quand la chienlit envahit la rue et que le Ministre de l’Intérieur est aux abonnés absents en boîte de nuit,

Quand un député, un ministre abuse de son pouvoir pour piller les caisses de l’État. Les prises illégales d'intérêts, les délits de favoritismes, les passe-droits accordés comme des promotions et nominations dans la fonction publique, magistratures comprises...font de la France un peu mal noté au niveau de la corruption... et souvent discrédité dans l'opinion publique,

Quand un Président imprudent, plus cigale que fourmi, brade la richesse de son Pays,

Quand un Président de tous les français ne l’est que de quelques-uns et se déclare méprisant de certaines catégories de ses concitoyens,

Quand il se veut l’égo-centralisateur de tous les pouvoirs au mépris des règles qu'il est censé faire respecter,

Quand l’intérêt particulier l’emporte au niveau de l’État sur celui de l’intérêt général ,

C’est l’autorité de l’État qui est affaiblie et devient même contestable...

L’État n’est plus ressenti comme protecteur.

C’est pour cela que nous, Association citoyenne, devons dénoncer sans relâche tout ce qui affaiblit l’Autorité de l’État.

À SUIVRE...

LES DÉFAILLANCES DE L’ÉTAT ONT MINÉ SON AUTORITÉ QU’IL FAUT IMPÉRATIVEMENT RESTAURER

 

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