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3 août 2023 4 03 /08 /août /2023 19:58
L'UNEDIC SORT LA TÊTE DE l'EAU ...ET L'ÉTAT VEUT L'EMPÊCHER DE POURSUIVRE SON DÉSENDETTEMENT

L'UNEDIC SORT LA TÊTE DE l'EAU ...ET L'ÉTAT VEUT L'EMPÊCHER DE POURSUIVRE SON DÉSENDETTEMENT

 

 

 

 

SAUVER LE DIALOGUE SOCIAL ET L’INDEMNISATION DES DEMANDEURS D’EMPLOI

 

Comme cadeau pour ces vacances, les partenaires sociaux ont reçu ce mardi le document de cadrage du gouvernement sur la nouvelle refonte des règles de l'assurance-chômage. C’est l’inventaire des principales exigences de l'exécutif pour la survie de l’assurance chômage !

C’est l’été et comme cadeau empoisonné aux partenaires sociaux, avant leur départ en vacances, nos gouvernants, sur le dossier chômage, tentent un coup de force inquiétant pour le respect du dialogue employeurs salariés/État.

En effet, ce mardi 1er août 2023, les partenaires sociaux ont reçu le « document de cadrage du gouvernement relatif à la négociation de la convention d'assurance chômage » sur la refonte des règles de l’assurance-chômage.

Les partenaires sociaux ont jusqu’au 15 novembre 2023 au plus tard pour s’entendre et avaliser les propositions qui sont plutôt des prétentions abusives gouvernementales.

Concrètement on peut craindre que les partenaires sociaux soient condamnés à ratifier les diktats gouvernementaux ; une négociation employeurs salariés très difficile d'autant plus que l'État en quête de sous voudrait que la cotisation employeur soit augmentée : L'État voudrait le beurre et l'argent du beurre.

 

LA STRUCTURE ASSURANCE CHÔMAGE : L’UNEDIC

L’assurance chômage est gérée par l’UNEDIC qui confie la collecte des contributions et le versement des allocations respectivement à l’URSSAF et la gestion du chômage à Pôle Emploi qui va devenir France Emploi et veille à ce que les règles soient respectées.

L'UNEDIC illustre le type de gestion paritaire : les partenaires sociaux définissent les règles d’indemnisation et fixent les niveaux de ressources et les taux de cotisation requis des employeurs.

Cela signifie que ce sont les partenaires sociaux qui gèrent le régime du chômage dont les recettes sont les cotisations employeurs.

En 2019, les partenaires sociaux n’ayant pu aboutir à un accord ont du passer la main à l’État qui a modifié le système à travers une série de décrets publiés au cours des quatre dernières années.

Donc, en 2023, sur le dossier chômage les représentants des travailleurs et des chefs d’entreprise ont l'opportunité de reprendre leur rôle abandonné mais l’État émet ses conditions qui, aux dires des premières réactions des syndicats, ne sont pas acceptables. La réaction du côté employeurs est plus modérée et ouverte à la négociation mais pas à n’importe quel prix.

 

DE GRAVES ET INTOLÉRABLES MENACES GOUVERNEMENTALES : UN HOLD UP

La faiblesse de l’UNEDIC dans la négociation, c’est sa dette de plus de 60 milliards d’euros garantie par l’État et que l’organisme commençait à apurer avec les cotisations des années à venir où le régime sera excédentaire.

Patatras ! L’État dont les caisses sont vides veut s’emparer d’au moins de 11 milliards d’euros de cotisations à venir. Ce sont sont pourtant les cotisations qui appartiennent aux employeurs et aux salariés.

C’est une tentative d’hold up qui nous rappelle tristement celui qui a été envisagé par Emmanuel MACRON sur les réserves légales des Caisses de Retraite.

L’embellie sur l’Emploi a excité les appétits financiers du Chef de l’État et du Gouvernement dont la gestion des finances publiques a été catastrophique selon l’aveu même du chef de l’État qui doit maintenant rendre compte au monde de la finance, à l’Europe d’une gestion qui a fait passer la dette du Pays au-dessus de 3 000 milliards d’euros : au lieu de faire des économies, l’État trouve plus facile de piocher incognito sur les droits à l’indemnisation du chômage.

INACCEPTABLE !

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2 août 2023 3 02 /08 /août /2023 18:47
BIEN SÛR, ÉCOLOGIE NE RIME PAS AVEC PLANIFICATION

BIEN SÛR, ÉCOLOGIE NE RIME PAS AVEC PLANIFICATION

 

 

 

 

 

NE PAS CONFONDRE PLAN ET PLANIFICATION

Il ne faut pas confondre un plan pour faire face à une situation grave qui nécessite de fixer un objectif pour sortir d’une passe difficile avec la folie des technocrates de vouloir tout prévoir et tout régenter y compris ce à quoi ils n’avaient pas pensé.

Nous pouvons penser que le Plan MARSHALL, le Plan MONNET...étaient des créations qui correspondaient aux besoins de la reconstruction de l’Europe et de la France après la fin de la deuxième guerre mondiale.  Il y avait tant de besoins qu’il fallait gérer les priorités dans un objectif : relancer la machine surtout en Europe.

Mais les nombreux autres plans annoncés répondent à l’utopie d’un moment : ce sont des plans tirés sur la comète.

Pour les réalistes qui veulent avancer, créer, bâtir, ce mot « plan »fait peur En effet, planification est synonyme d’échec : le plus spectaculaire fut, bien sûr, celui de l‘URSS dont les plans et la tentative de tout planifier furent un des paramètres de la faillite complète du système communiste. En France, le Premier Ministre Dominique de VILLEPIN a mis fin à la planification tous azimuts.

Les tentatives qui suivirent furent des échecs comme celui du plan énergie, du plan relance...

 

AVEC LE PRÉSIDENT MACRON, IL Y A LA RENAISSANCE DU "HAUT COMMISSARIAT AU PLAN" ET « LA PLANIFICATION ÉCOLOGIQUE », LES PONPONS DES PLANS INUTILES

Pour le Chef de l’État, il fallait trouver à François BAYROU, l’allié pas objectif mais opportuniste d’Emmanuel MACRON, un os à ronger et quelques moyens financiers pour permettre à l’ami politique de l’instant T de survivre.

C’est ainsi qu’en 2020 Emmanuel MACRON a ressuscité le Haut-Commissariat au Plan. Pour 2023, c'est le contribuable qui finance ainsi par le biais de ce Haut-Commissariat les frasques de Monsieur BAYROU nommé haut-commissaire.

 Le bon peuple attend toujours que ce Haut-Commissariat élabore le plan miracle qui équivaudrait à ce que Madame SOLEIL n’osait même pas prédire : « de quoi demain sera fait ! »...pour éclairer Parlement, Gouvernement et Chef de l’État à savoir comment « Gouverner, c’est Prévoir ».

Il n’y a aucune justification à la création d’un tel Haut-Commissariat au Plan.

Celui-ci est ainsi défini légalement sur le site officiel vie-publique « Le Haut-commissaire au Plan est chargé d’animer et de coordonner les travaux de planification et de réflexion prospective conduits pour le compte de l’État et d’éclairer les choix des pouvoirs publics au regard des enjeux démographiques, économiques, sociaux, environnementaux, sanitaires, technologiques et culturel. »

Nous n'avons rien vu de remarquable et génial sortir de ce Haut-Commissariat .

Celui-ci est d’autant plus inutile que les français savent maintenant que le Chef de l’État décide de tout : Où et comment la France va ? Où l’Europe va ? où le Monde va...il n’a pas de conseil à recevoir !

Il sortira peut-être de cette officine clandestine électoraliste nommée Haut Commissariat au PLan des réunions et études qui feront des doublons avec les rapports sérieux de la Cour des comptes, les enquêtes INSEE, les enquêtes du Sénat et de L’Assemblée Nationale, les documents du Conseil Économique, Social et Environnemental, INSEE, Banque de France...

 

LA PLANIFICATION ÉCOLOGIQUE

Il vient de nous être annoncé maintenant un plan pour l’écologie au sein de France Nation Verte. Le 12 juillet 2023, Élisabeth Borne a présenté devant le Conseil national de la transition écologique (CNTE) les grandes lignes de la planification écologique d'ici à 2030, qui va bénéficier de 7 milliards d'euros supplémentaires dès 2024.

Il a bien été précisé que ce plan n’est ni figé ni budgété !

Heureusement, car en matière d’écologie, les paramètres sont particulièrement difficiles à cerner. Ils sont évolutifs comme on peut s’en rendre compte avec les engagements déjà pris par les accords internationaux déjà signés et les difficultés pour suivre les résultats.

La première Ministre a beau dire « nous sommes bel et bien sur le chemin de la neutralité carbone » et parler d’un « plan collectif et ambitieux pour l'écologie », il s’agit de verbiage donc pas d’un engagement ni d’une planification rigide...sage précaution !

 

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31 juillet 2023 1 31 /07 /juillet /2023 20:34
OÙ EST PASSÉ LE PRÉSIDENT DE LA FRANCE ? DES BAINS DE FOULE AU DÉSERT DE L'ELYSÉE, CHÂTEAU HANTÉ ?

OÙ EST PASSÉ LE PRÉSIDENT DE LA FRANCE ? DES BAINS DE FOULE AU DÉSERT DE L'ELYSÉE, CHÂTEAU HANTÉ ?

 

 

 

 

LA SOLITUDE DU POUVOIR ET LE POUVOIR SOLITAIRE INUTILE

 

Quelle époque étrange vivons-nous aussi sur le plan institutionnel !

Avec l’instauration du quinquennat en 2000, La France pouvait  espérer un nouvel équilibre des pouvoirs au sein de l’Exécutif. C’était au moins l’hypothèse qui fondait la Réforme Valéry Giscard D’Estaing/ Jacques CHIRAC.

Le quinquennat consiste en un mandat présidentiel d’une durée réduite à 5 ans. Il a été introduit dans la Constitution par la loi constitutionnelle du 2 octobre 2000 pour éviter le renouvellement de la cohabitation !

C’était une belle erreur car le pouvoir ne cesse de se "présidencialiser" malgré un Parlement hostile et une France qui ne fait plus confiance en son Président.

Ainsi la solitude actuelle du Président se concrétise aussi au niveau de l’exécutif ; d’un côté le Président et son équipe pour plus exactement ce qu’il en reste, de l’autre, le Gouvernement et son chef la Première Ministre. À eux deux, ils ne forment pas ce que la Constitution a voulu.

Ce mariage non consommé est incongru. Nombreux sont les constitutionnalistes qui s’interrogent d’ailleurs sur la nécessité d’avoir un gouvernement et un Premier Ministre tant les prérogatives que s’est octroyées Emmanuel MACRON réduisent à néant celles du Premier Ministre et de son gouvernement.

Sur le plan institutionnel, le Président MACRON est devenu un homme de pouvoir isolé : pas de parti pour le soutenir, plus d’allié dans le monde. Il est bien seul.

 

LA SOLITUDE PRÉSIDENTIELLE DÉPASSE LE PLAN INSTITUTIONNEL

La France et la Presse découvrent en ce début de quinquennat non pas seulement la solitude du pouvoir au sommet de la hiérarchie des Institutions mais la grande solitude dans toute sa splendeur.

Le Président s’isole dans le petit luxe de sa résidence de la Lanterne à l'ombre du Château du Roy Louis le Quatorzième.

Cette solitude s’est parfaitement illustrée pour ce 14 juillet 2023 sans foule sur les Champs Élysée, sans discours présidentiel...la France n’a pas fêté sa fête nationale ! Pour respecter la solitude présidentielle ?

Cette solitude fut évidente quand il s’est agi de donner son aval pour un remaniement ministériel : pas de volontaires pour la place de Premier Ministre et pas de proches sûrs pour constituer un gouvernement renouvelé et performant.

Après les émeutes de fin juin, début juillet, le Président, après les avoir méprisés, a voulu se réconcilier avec les élus de base... Son invitation du 4 juillet fut un fiasco. Le Président ne trouve même plus les moyens et les mots pour panser les plaies.

Le Président s’isole de plus en plus. Et tout un peuple le voit, le sent, le sait.

Bientôt, lui qui adore ferrailler, ne trouvera plus d’adversaires avec qui se battre.

Il ne suffit d’avoir fait passer sa réformette sur les retraites avec un entêtement de l’homme qui ne veut pas céder pour réussir à redevenir le jeune Chef de l’État sur qui reposaient les espoirs de la France.

Depuis les Gilets Jaunes, la série des échecs comme la catastrophique gestion de la crise sanitaire, celle des retraites, celle des banlieues, de la dette, de l'hôpital ... a fait découvrir un homme inadapté à la fonction de Président qui ne croit et n’écoute que lui. Un homme seul avec son pouvoir inutile.

Le ressort de la machine à gagner est cassé et le refuge qu’est la solitude signe la nécessité de l’envoyer à la casse le plus vite possible pour éviter de nouveaux accidents.

Ainsi, nous comprenons mieux le titre de la UNE de l’hebdomadaire « le Point » :  «  Y a-t-il encore un président ?»

 

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22 juillet 2023 6 22 /07 /juillet /2023 15:45
LE PRÉSIDENT EMMANUEL MACRON

LE PRÉSIDENT EMMANUEL MACRON

 

 

 

 

 

LE TOUR D’HORIZON DU PRÉSIDENT D'EMMANUEL MACRON

 

L’exercice de communication du Président MACRON devant les Ministres ce vendredi 21 juillet était très difficile voire suicidaire. Il a refusé de faire campagne en 2022, il a refusé de faire le bilan de son premier quinquennat et il essaie apostériori maintenant de combler ce vide car il subit les conséquences du fait que la France ne sait pas où elle va. Nous reprenons l’analyse de ces 25 minutes d’intervention déroutante : aveux,  directives et auto-satisfaction...

 

ALLUSION AU DOSSIER DE L’EX-MINISTRE MARLÈNE SCHIAPPA ? EXEMPLARITÉ FONDS MARIANNE

De l’intervention du Président MACRON en préliminaire du Conseil des Ministres de ce 21 juillet 2023 nous retenons, entre autres termes abordés, le mot fort sur le plan éthique, le terme « EXEMPLARITÉ » qui, dans la bouche du Président MACRON, ne manque pas de sel.

Certes, morale et politique ne font pas très bon ménage et revenant sur ce thème le Président a pris soin de dire à l’adresse de ses ministres que ce sont les incartades des membres du Gouvernement qui sont une cause du fait que « les gens ont perdu la confiance » en leurs élus.

Nous ne nous étendrons pas sur le dossier du confident du Président son Secrétaire Général de l’ÉLYSÉE Alexis KOHLER inculpé depuis 2022 par le Parquet National Financier PNF au motif de prise illégale d’intérêts. Nous ne reviendrons pas non plus sur le dossier BENALLA !

Le PNF fait plus de diligences pour instruire ses affaires quand il s’agit d’ennemis politiques du Président.

 

Les ministres nouveaux et les autres plus anciens ont dû être étonnés de cette leçon de morale donnée par le Président qui a protégé Marlène SCHIAPPA y compris après l’enquête du Sénat qui a au moins eu l’intérêt de faire apparaitre presque toute a vérité.

On peut imaginer tout le mal que Marlène SCHIAPPA a pu faire quand nous, vous, tout le monde avons découvert qu’elle avait réussi à « escroquer » 2,5 millions d’euros d’argent public pris sur un reliquat de budget de l’année précédente (2020) .

Madame Marlène SCHIAPPA n’a pas détourné des fonds publics à son profit personnel  mais elle a distribué cette somme de manière totalement obscure et douteuse : deux enquêtes sont encore en cours une pénale devant le PNF et l’autre par l’Inspection Générale de l’Administration.

Nous notons que le PNF fait plus de diligences pour instruire ses affaires quand il s’agit d’ennemis politiques du Président. Rappelons que le PNF est un bout de juridiction d'exception où les magistrats qui officient ont un statut privilégié.

Il faut quand même ajouter que la distribution cette manne n’était pas innocente elle était faite pour aider des initiatives en général du monde associatif à proposer des projets d’actions de lutte contre la discrimination, le racisme ; le communautarisme...suite au meurtre atroce de l’enseignant Samuel PATY

Il est reproché à Madame Marlène SCHIAPPA d’avoir utilisé ses fonds pour financer un formidable outil de communication à son profit.

 

On comprend ainsi la gêne du Président à parler à ses ministres et à la France de son exigence d’Exemplarité  : efficacité, continuité, probité...

 

LE DÉLABREMENT DES FINANCES PUBLIQUES ?

Nous avons aussi retenu de ce propos présidentiel cette phrase que le Président a d’ailleurs eu du mal à prononcer et qui peut cacher une très mauvaise surprise « Nous aurons, dès la rentrée, à préparer en quelque sorte le pays pour un cadre exigeant et l’ordre en matière de finances publiques ».

Le "en quelque sorte" a eu du mal à sortir de la bouche présidentielle.

Les finances publiques françaises sont donc en désordre. Nous en prenons acte et posons la question : qu’avez-vous fait, Monsieur le Président, pour redresser cette situation que vous jugez maintenant critique « quoiqu’il en coûte ! »

Le Président MACRON semble souffrir d’amnésie et oublier son long passage au Ministère des Finances dont la période2014/2016 ? Qu’a-t-il fait pour sauvegarder les finances publiques ? Puis plus récemment comme Président il a fait flamber la dette publique et les déficits publics.

Décidément nous ne comprenons rien à la politique vue par le Président MACRON et le fameux« faites ce que je dis et ne faites pas ce que je fais ».

Le Président était bien au courant en aout 2022 des difficultés financières de la France quand il déclarait la fin de l’abondance :

« Nous vivons la fin de ce qui pouvait apparaître comme une abondance, celles des liquidités sans coût, (…) la fin d’abondance de produits, de technologies qui nous semblaient perpétuellement disponibles, (…) la rupture des chaînes de valeur, (….) la fin de l’abondance de terre ou de matière et celle de l’eau »

 

Rappel REPLAY pour ceux et celles qui voudraient entendre ce monologue présidentiel de 25 minutes sur le quinquennat N°1 du Président et l’annonce un peu clandestine qu’il fixe un CAP cette fois après plus d’un an en fonction pour ce nouveau quinquennat.

 

https://www.youtube.com/watch?v=FaxoLme-1lM

 

 

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21 juillet 2023 5 21 /07 /juillet /2023 22:00
C'EST ENCORE  EN LIGNE : UNE INTERVENTION À OUBLIER

C'EST ENCORE EN LIGNE : UNE INTERVENTION À OUBLIER

 

 

 

 

UN DISCOURS ATTENDU, UN DISCOURS À VITE OUBLIER : LA GRANDEUR DU CHEF DE L’ÉTAT N’AVAIT PAS BESOIN DE CELA

 

 

UN DISCOURS ? CERTAINEMENT PAS MAIS  UN LONG MONOLOGUE ADRESSÉ À QUI ?

 

Nous avons écouté et réécouté avec attention le « discours » que le Président a adressé aux français depuis le Conseil des Ministres exceptionnel de ce 21 juillet 2023

D’abord cette prise de parole du Président mise en scène en « ouverture » du Premier Conseil des Ministres du Gouvernement N°3 BORNE n’est en fin de compte ni une présentation du nouveau gouvernement, ni un discours aux français, c’était un peu plaidoyer pro domo avec une autocritique à peine voilée sur tout ce qui a mal fonctionné depuis le début de son premier quinquennat sans en assumer la responsabilité. C’est un mélange étonnant qui devait comme cela s’apprend en matière de communication viser une « cible » que nous n’avons pu discerner...erreur de casting ?

 

RAPPORTER CE MONOLOGUE N’EST PAS CRITIQUÉ L’ACTION DU CHEF DE L’ÉTAT, C’EST EXPRIMER NOTRE DÉSARROI D’UN PRÉSIDENT FACE AUX FRANÇAIS ET QUI, EN 2023, ESQUISSE UNE ÉBAUCHE DE PROGRAMME PRESQUE CLANDESTINEMENT

Répétons-le, Il ne nous appartient pas comme Association Citoyenne de critiquer le Chef de l’État. Les français l’ont élu et réélu.

Par contre, il nous semble préférable, avec toujours du recul par rapport aux événements, de vous apporter la matière à réflexion en vous disant ce qui a pu nous choquer...quand le Chef de l’État s’emporte contre un demandeur d’emploi en lui disant «Je traverse la rue et je vous trouve un travail » :nous avons le devoir de dire que cela nous choque. Quand il montre son mépris pour les travailleuses et les retraités, nous avons encore le droit de nous indigner...les retraités ont donné pour gagner leur droits à une juste retraite ! Faire l'éloge des élus et particulièrement des maires après leur avoir exprimé son mépris...nous avons le droit de nous indigner ?

Le ton las et lassant de ce discours qui fut retransmis en cours de matinée...quand les français ne sont pas devant leur poste de télévision...ce n’était pas à la hauteur d’un discours présidentiel du 14 juillet attendu.

Ce qui nous indispose vis-à-vis du Chef d’État  : c’est d’une part, qu’il fasse des promesses impossibles irréalisables pour ne pas dire farfelues et mensongères  comme celles figurant dans son programme de 2017 et d’autre part, une captation des pouvoirs contraire à la Constitution et dangereuse pour la France.

 

UNE INTERVENTION, UN REMANIEMENT ...DES NON-ÉVÉNEMENTS PRÉSIDENTIELS

Cette intervention présidentielle en grande partie lue avec un ton las et lassant laisse à penser que le Président n’a pas semblé croire à ce qu’il lisait sauf pour défendre ce qu’il est censé avoir réalisé...a-t-il eu trop confiance en ses nègres? N’y croit-il plus ?

Voilà un ¨Président réélu en 2022 par défaut puisqu’il a refusé de présenter un programme et que son élection il la doit au seul  torchon rouge agité devant son bon peuple : celui de l’élection possible de Marine LE PEN.

Il lui a suffi de dire qu’l était le seul capable de faire barrage à l’extrême-droite alors que c’est lui qui a été à la manœuvre pour qu’au second tour en 2022 où effectivement il se retrouva face à Marine LE PEN.

Dans son propos de ce jour, le Président a eu cependant l’outrecuidance de parler de son programme...un exemple parmi d’autres des « approximations » du Chef de l’État : en 2023 nous attendons toujours ce programme ! Ces « approximations » montrent jusqu’où peut aller le mépris du Président pour ses concitoyens tous amnésiques.

Citons aussi l’exhorte aux ministres sur l'EXEMPLARITÉ... quand on a gardé et protégé Marlène SCHIAPPA des mois après la révélation des détournements du FONDS MARIANNE, BENALLA et autres proches mis en examen...oser parler d'exemplarité !

Nous regrettons de ne pas avoir eu droit à la réponse de Madame Élisabeth BORNE à qui le Président céda la parole après son intervention de presque une demi-heure.

 

 

EXTRAITS DES RÉSEAUX SOCIAUX

 

« Incroyable discours d'un amnésique oubliant qu'il est aux manettes depuis 6 ans. encore une envolée en forme de satisfecit un de plus.. tout est parfait circulez y a rien à voir »

Tout va très bien en France...c'est lui qui le dit. Du moment que tout va très bien à l'Elysée et à Versailles la France est sauvée

Soliloque ou monologue ??? Ah! la belle langue française si riche et tellement pratique pour raconter une belle fable !!!

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19 juillet 2023 3 19 /07 /juillet /2023 20:35
LE PRÉSIDENT MACRON UN HOMME SEUL À LA TÊTE DE L'EXÉCUTIF, UN GOUVERNEMENT DÉVALORISÉ

LE PRÉSIDENT MACRON UN HOMME SEUL À LA TÊTE DE L'EXÉCUTIF, UN GOUVERNEMENT DÉVALORISÉ

 

 

 

LE RÔLE DU GOUVERNEMENT EST RÉDUIT DE MANIÈRE DRASTIQUE. CE N'EST PAS CE QUE PRÉVOIT LA CONSTITUTION.

 

Chaque jour amène des informations nouvelles sur la façon dont le Président de la République maltraite la Constitution dont il est le gardien chargé de veiller à son respect.

Ces informations doivent inquiéter très sérieusement les citoyens même si la tendance est à penser vacances et aussi vacance du pouvoir au niveau de l’exécutif.

 

LA France ET SON EXÉCUTIF BICÉPHALE

Tout pays démocratique structuré est administré par 3 pouvoirs : c’est l’héritage de la pensée attribuée à Montaigne auteur de « l’Esprit des lois » (1748).

Ces 3 pouvoirs sont donc : le pouvoir législatif, le pouvoir exécutif et le pouvoir judiciaire.

Ces pouvoirs doivent être séparés et en théorie indépendants...on pourrait dire, pour être plus pratique, inter-dépendants. Il est évident que s’il y a 3 pouvoirs...le jeu va consister pour chaque pouvoir de faire des tentatives de rogner le pouvoir des deux autres.

Le caractère bicéphale de l’exécutif inscrit dans la Constitution de 1958 est un peu une caractéristique de la France démocratique sortie de l’ornière de la guerre d’Algérie et d’une quatrième République affaiblie qui se jette dans les bras du Général de Gaulle.

La Constitution de 1958 a donc été rédigé comme un costume taillé pour le Général de Gaulle dont on dit qu’il en est le principal rédacteur. Le Général cependant était entouré pour cette rédaction d’hommes comme l’éminent Michel DEBRÉ qui a dû ferrailler avec son maître pour en faire un texte équilibré.

Malgré les multiples tentatives de réformes, elle devient celle qui, sous régime républicain, aura résisté le plus longtemps aux foucades des français.

Cette constitution de 1958 a doté la France d’un exécutif bicéphale : le Président de la République et le Gouvernement. L’esprit de la Constitution a cependant basculé avec l’élection du Président de la République au suffrage universel volant la place prééminente au législatif pour donner plus de poids à l’exécutif représenté par le Président de la République. Celui-ci a pris, avec le temps,  l'habitude de rogner le pouvoir octroyé au Gouvernement...Est-on sous un régime Présidentiel que la Constitution de 1958 ne prévoit pas ?

 

2023 :  LA France NE SAIT PLUS SOUS QUEL RÉGIME ELLE VIT

Nous vous livrons ci-dessous les deux textes clés qui régissent le fonctionnement de l’exécutif bicéphale.

 

LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

 

Article 5 de la Constitution

Le Président de la République veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l'État.

Il est le garant de l'indépendance nationale, de l'intégrité du territoire et du respect des traités.

 

LE GOUVERNEMENT

Article 20 de la Constitution

Le Gouvernement détermine et conduit la politique de la nation.

Il dispose de l'administration et de la force armée.

Il est responsable devant le Parlement dans les conditions et suivant les procédures prévues aux articles 49 et 50.

Article 21 de la Constitution

Le Premier ministre dirige l'action du Gouvernement. Il est responsable de la défense nationale. Il assure l'exécution des lois. Sous réserve des dispositions de l'article 13, il exerce le pouvoir réglementaire et nomme aux emplois civils et militaires.

Il peut déléguer certains de ses pouvoirs aux ministres.

Il supplée, le cas échéant, le Président de la République dans la présidence des conseils et comités prévus à l'article 15.

Il peut, à titre exceptionnel, le suppléer pour la présidence d'un conseil des ministres en vertu d'une délégation expresse et pour un ordre du jour déterminé.

 

 

EMMANUEL MACRON A VIDÉ LE POUVOIR DU GOUVERNEMENT. Il RÈGNE SEUL.

Nous laissons, à partir des textes ci-dessus, à chacun de vous, le pouvoir de juger avec la tragi-comédie que nous vivons depuis le début de ce second quinquennat d’Emmanuel MACRON, ce que représente désormais le Gouvernement.

Si le gouvernement ne sert à rien cela signifie que la Constitution est violée et que le Chef de l’État concentre sur sa personne tous les pouvoirs de l’exécutif de la République.

Il n’est plus l’arbitre mais le chef...il dit d’ailleurs « mon » gouvernement et se comporte effectivement comme Président et Premier Ministre.

Mesurons donc le danger de cette situation et ce que cela peut présenter pour l’avenir en cas de nouvelle crise par exemple !

Veut-on que la France passe sous le régime Présidentiel ? Dans ce cas, il faudra interroger le peuple souverain pour modifier la Constitution et il n'est pas sûr du tout que le peuple souverain accepte cette hypothèse. Alors rester dans une situation ambigue ?

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17 juillet 2023 1 17 /07 /juillet /2023 18:58
14 JUILLET 2023, PAS DE FEU D'ARTIFICE PRÉSIDENTIEL

14 JUILLET 2023, PAS DE FEU D'ARTIFICE PRÉSIDENTIEL

 

 

 

 

LES DISGRÂCES DES 100 JOURS

 

Les « Cent-Jours » sont à l'origine la période de l'histoire de France comprise entre le retour en France de l'empereur Napoléon Iᵉʳ, le 1ᵉʳ mars 1815, et la dissolution de la Commission Napoléon II, chargée du pouvoir exécutif après la seconde abdication de Napoléon Iᵉʳ, le 7 juillet 1815.

Les 100 jours sont donc placés plutôt sous des auspices catastrophiques ou au moins peu glorieuses.

Donc fêter la fin d’une période néfaste comme celle de la crise interminable 2023 de la réforme des retraites en annonçant l’entrée dans une période de Cent jours est du genre provocateur.

Les Cent Jours version Emmanuel MACRON débutent avec sa déclaration du 17 avril 2023 sur l’annonce de l’«apaisement » après les éclats massifs de la colère populaire sur la réforme des retraites et ils auraient dû s’achever le 14 juillet 2023 sur un bilan de triomphe et du changement de politique à la tête de l’֤État pour la renaissance d’une France qu’il avait promis de redresser.

Mais pourquoi donc le Président de la République a-t-il choisi ce titre des « 100 jours » pour illustrer son action, ses échecs et son inaction?

Il emprunte à l’histoire des faits qui ne sont pas glorieux, est-ce pour exorciser le sort ou pour provoquer ?

Nous attendions donc ce 14 juillet avec impatience et un peu d’inquiétude.

 

LES 100 JOURS D’EMMANUEL MACRON : VACANCES DU POUVOIR ET VACANCES PRÉSIDENTIELLES ET NATIONALES

Après la révolte des banlieues qui était le contraire de l’apaisement nous attendions donc ce bilan des 100 jours qui devait se terminer par un feu d’artifice présidentiel

Au lieu d’une fête, ce 14 juillet 2023, nous eûmes droit certes effectivement au feu d’artifice rituel de la Tour Eiffel mais et aussi nous eûmes le Waterloo du bilan des 100 jours sous forme de litanie récitée par le porte-parole du gouvernement Olivier VÉRAN où tout se mélange ; où nous sommes dans ce compte rendu du Conseil es Ministres  perdus dans des détails sans importance et des promesses qui n’engagent que ceux qui les entendent.

Vous pouvez en juger avec le texte du compte rendu du Conseil Des Ministres par Olivier VÉRAN :

https://www.gouvernement.fr/conseil-des-ministres/compte-rendu-du-conseil-des-ministres-du-13-07-2023#d7f9154e-04b5-45b7-b4c2-029cc0a1d350-0

En réalité, des 100 jours d’Emmanuel MACRON ne resteront dans les mémoires que les images des jours d’émeutes, de vols, de saccages : la chienlit qui s’est exprimée et a pu casser du policier et du gendarme symboles de l’ordre public et les bâtiments publics détruits symboles de la République bafouée ...sans oublier la tentative de meurtre du Maire de La Haÿ les Roses et de sa famille.

Du bilan attendu, de ces 100 jours nous n’avons pu ouïr que le silence présidentiel.

« En marche » sombre dans l’immobilisme.

Les Cent Jours s’achèvent dans le vacarme solitaire des préparatifs des vacances présidentielles.

L’exécutif est totalement défaillant : le Chef de l’État va voyager, la première Ministre est tellement en intérim que son Chef de Cabinet démissionnaire depuis plusieurs semaines n’est même pas remplacé, les Ministres et les membres de leurs cabinets sont en recherches de nouveaux postes...

La France n’est plus gouvernée et peut donc partir tranquille en vacances. C’est bien triste quand même ! du jamais vu ?

Les Cent jours de l'empereur NAPOLÉON et d'Emmanuel MACRON sont des moments de l'histoire de France que nous essayerons de vite oublier.

 

Dernière minute : Nous apprenons qu' Élisabeth BORNE reste encore Première Ministre "confortée"...elle va proposer au Président des ajustements...sur la ligne politique ? sur les composantes de son gouvernement? ...Est-ce que cela fait sérieux ?...Allons vite "en marche" tous vers l'immobilisme !

En fin de compte, on pourrait se passer de Gouvernement comme certains Pays ont pu le faire. Le Ministre du budget aurait enfin trouver un moyen de faire baisser la dépense publique. Quelle économie !

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14 juillet 2023 5 14 /07 /juillet /2023 15:51
NON AU POUVOIR DESTRUCTEUR DE LA RUE, OUI À LA RESTAURATION DE L'AUTORITÉ DE L'ÉTAT

NON AU POUVOIR DESTRUCTEUR DE LA RUE, OUI À LA RESTAURATION DE L'AUTORITÉ DE L'ÉTAT

 

 

 

 

LES DÉFAILLANCES DE L’ÉTAT ONT MINÉ SON AUTORITÉ QU’IL FAUT IMPÉRATIVEMENT ET TRÈS RAPIDEMENT RESTAURER

Suite de

https://www.olonnes.com/2023/07/l-autorite-de-l-etat-est-remise-en-question-c-est-la-decadence-de-l-etat-et-du-pays.suite.html

 

Aujourd’hui, c’est l’Autorité de l’État qu’un certain laxisme a totalement remis en cause parce que ses représentants ont été défaillants et que ces défaillances nous les vivons tous les jours quand on entend le fameux et honnis « tous élus, tous pourris » dont on peut mesurer tous les graves méfaits qu’il engendre : l’incivilité règne en maître.

Tout élu est pourtant un représentant de l’État dépositaire de l’autorité que celui-ci est censé détenir.

Pourtant, l’élu n’est plus respecté...il est même plus attaqué que respecté.

Ainsi au cours de l'année 2022, 2 265 plaintes et signalements pour des actes de violence à l'encontre d'élus ont été recensés : un record !

En réalité, il apparait clairement que c’est toute la chaîne de l’autorité qui est devenue défaillante : place à la violence puisque le violent sait qu’il sera impuni même s’il passe en jugement.

La peine à laquelle il sera peut-être condamnée, même s’il est récidiviste, ne sera pas exécutée puisqu’il n’y a pas de places dans les prisons ! Parce que l’État défaillant ne cesse depuis 2017 de proclamer et promettre 15 000 places nouvelles dans les prisons et n’en met aucune en chantier. Le délit de mensonge affaiblit aussi l’Autorité de l’État.

Le représentant de cette Autorité dit Chef d’État actuellement Emmanuel MACRON participe à ce comportement destructeur de l’Autorité dont il est pourtant le symbole vivant : ses écarts de langage, son absentéisme aux moments où la patrie qu’il représente est en danger perpétue cette décadence que ses prédécesseurs avaient inauguré : Gilets Jaunes, banlieues en feu, grèves générales...

L’AUTORITÉ DE L'ÉTAT était silencieuse et défaillante laissant la parole et le champ libre aux mouvements insurrectionnels et incontrôlés de la rue et donc à l'éclipse de l'Autorité de l'État.

 

RESTAURER L'AUTORITÉ DE L'ÉTAT ET LA NOTION MÊME D'AUTORITÉ

La Justice, bras exécuteur de l’Autorité de l’État, est une grande malade qui n’est pas soignée et a perdu sa crédibilité.

Les policiers qui ont arrêté non sans risques un délinquant le retrouveront le lendemain de son arrestation ou de son jugement dans la rue et essuieront le bras d’honneur que le voyou leur fera !

Des membres des forces de l’ordre ainsi désabusés, c’est l’autorité de l’État qui recule, qui s’effrite, qui sombre.

Autre cause de cette situation alarmante : la notion même d’autorité qui est fragilisée dans le monde de l’éducation, au sein de la famille...et là aussi le chef de l’État a sa lourde part de responsabilité...après déjà 6 ans à la tête de l’État. A-t-il construit ou reconstruit l'Autorité lui qui avait promis à la France de lui faire "retrouver notre esprit de conquête pour bâtir une France nouvelle" ...avec ou sans Autorité de l'État ? Dans le désordre comment peut-on reconstruire une France Nouvelle ?

L’Autorité de l’État s’use si l’on ne s’en sert pas ...or, aujourd’hui l’Autorité de l’État est bafouée impunément et souvent inexistante et les auteurs de ce massacre de l’Autorité ne sont plus sanctionnés.

Par contre, c’est toute la société française qui est sanctionnée par un État défaillant ! et particulièrement par l’insécurité et la violence qui sévissent sur tout le territoire.

À quand la saine réaction du citoyen français ? À quand l’expression de la révolte de la majorité silencieuse ?

Répétons que le citoyen passif est lui aussi coupable par son laxisme, il est même complice de cette situation de laxisme général qui conduit à la décadence de l’Autorité de l’État donc de l’État français.

Nous sommes le 14 juillet, commémoration de l'Union Nationale et donc jour sacré Fête Nationale, les français ont besoin de croire au miracle du sursaut populaire qui sera celui qui porte un nom fort et significatif qui marqua la fin des épisodes d'aventures sanglantes de  la révolution : la RESTAURATION !

Pensons à participer à la restauration de l'Autorité de l'État et à la notion même d'Autorité sans laquelle il n'y plus de bases solides pour une vie en société, pour la paix, pour la solidarité et le progrès.

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